LE FORUM DES FOUS DE PALMIERS

Peut-on connaître l’origine de ce Palmetto ? Import espagnol peut-être ?
Est-il exposé au vent dans ton jardin ?

alohas a écrit :Les sabals palmettos sont comme les syagrus r; grosse aire de répartition naturelle, et des écarts importants de rusticité entre les cultivars.

Il y a aussi fort à parier que ce palmier n'avait jamais connu de gel de sa vie. A voir l'année prochaine s'il s'acclimate un peu...

Fredlejardinier a écrit :Peut-on connaître l’origine de ce Palmetto ? Import espagnol peut-être ?
Est-il exposé au vent dans ton jardin ?

Oui c'est un espagnol. Je suis dans le sud-ouest alors les patrons de pépis vont les choisir sur place.

Concernant le vent, on a eu pas mal de jours avec des vents assez forts jusqu'à 90km/h en rafales. En revanche, il est plutôt bien exposé et pas dans un couloir ou autre.

Voici,

Il a très faim dans son pot d’où le jaune des palmes (oui je sais) mais devrait être en terre depuis 2 ans déjà.



Il vient de chez Violette

Plein vent sud, plein vent ouest, et pour l'humidité chez moi il est servi

Bon...beh je suis un peu chafouin moi. Il va mettre deux ans à s'en remettre et le tien trépigne joyeusement dans son dé à coudre

Cyrano a écrit :

alohas a écrit :Les sabals palmettos sont comme les syagrus r; grosse aire de répartition naturelle, et des écarts importants de rusticité entre les cultivars.

Il y a aussi fort à parier que ce palmier n'avait jamais connu de gel de sa vie. A voir l'année prochaine s'il s'acclimate un peu...

Je pense que le type de cultivar est plus important que les conditions de culture (même si ça joue aussi évidemment). Mon palmetto sp tifton provient d'une culture sous les tropiques mexicains et mon pj sp anda est importé d'Argentine, pourtant les deux tiennent leurs promesses en terme de rusticité pour l'instant.

Cyrano a écrit :Bon...beh je suis un peu chafouin moi. Il va mettre deux ans à s'en remettre et le tien trépigne joyeusement dans son dé à coudre

Dé à coudre de 110L tout de même

Ce qui explique la fragilité des plantes en pot, c’est tout simplement que les racines se trouvent en périphérie de celui-ci, elles sont donc en première ligne en cas de gel. Ce n’était pas le cas de mon parajubaea qui était à l’origine dans un pot minuscule et qui avait été rempoté dans un très grand pot au printemps, de plus, l’humidité dans le pot était très faible au moment du gel puisque ce palmier était sous canopée de bambous, seul la lance à brûler et les jeunes feuilles en cours de déploiement mais dans un sol détrempé il n’aurait probablement pas survécu. Tous ça pour dire qu’il faut toujours prendre en compte les différents paramètres avant d’affirmer quoi que ce soit...

Sur un gel fort et/ou prolongé, la résistance d'un palmier sera extrêmement réduite en pot. Pour le sol détrempé une plantation en butte fait l'affaire. Les parajubaeas ont quand même une bonne tolérance aux sols lourds et humides, ce ne sont pas des palmiers de désert.

Ici, le mimosa commence à fleurir et il y a plus de 20 degrés d'amplitude thermique entre le matin (-1/-2) et l'après-midi (plus de 20). Mais vivement le vrai printemps

Petite déception au jardin hier, un jeune Trachy princeps a perdu sa lance et un autre à coté ne me
semble guère mieux (sa lance tient mais me parait sèche).
Ce sont les dégâts tardifs d'une petite gelée de fin 2018 (-6°C), alors que le new form à coté avait accusé le
coup très rapidement.
En espérant que tout ce petit monde reparte, j'y tiens.

Le princeps est décidément un trachy bien compliqué...
J'espère qu'ils se remettront