pas sur Lisbonne en tout casFredlejardinier a écrit :je pensais plutôt à Hendaye mais le Portugal c'est très sympa et moins cher

pas sur Lisbonne en tout casFredlejardinier a écrit :je pensais plutôt à Hendaye mais le Portugal c'est très sympa et moins cher
Je parlais dans le cadre d'un déménagement, pas d'un point de vue biologique...vartrop a écrit :L'eau c 'est la vie...Plus que la chaleur c 'est le manque d 'eau qui risque d être problématique tout autour de l'arc Méditerranéen...,Alors la côte atlantique pourquoi pas mais là aussi les conditions changent...
Le réchauffement climatique est présent à travers des phénomènes météorologiques des plus inquiétants : l'absence de saison avec des étés prolongés, des fleuves à sec, des montagnes sans neige à Noël, et des tempêtes glaciaires semblables aux intrigues des blockbuster. L'urgence de changer notre consommation et nos modes de vie se fait ressentir devant l'augmentation de ces événements qui deviennent de plus en plus fréquents dans le monde et en France. Images d'archives et scènes de fictions édifiantes projettent une vision étonnante du monde d'après.
Cette carte réevaluée de Köppen est connue mais jamais encore on ne l'avait publié au journal, donc il y a une part de sérieux.. on ne s'en cache même plus, on prévient les gens de ce qui va nous tomber dessus.Rapport du GIEC : l'Europe en surchauffe dans les décennies à venir
https://fr.euronews.com/2023/03/21/rapp ... es-a-venir
Je ne suis pas certain que les pays du nord de l'Europe soient ravis de posséder le climat de l'Europe de l'ouest, ce n'est qu'un fantasme de quelques hurluberlus qui n'ont pas pris en compte l'ensemble des paramètres et surtout des inconvénients.Fool a écrit :Finalement les pays du Nord de l'Europe, et de la Baltique eux seront ravis, puisqu'ils auront le climat actuel de l'Europe de l'ouest...Fool
Fredlejardinier a écrit : ↑23 mars 2023 19:07 jusqu'ou ira ce dérèglement climatique ?
Pourra-on y survivre ? Je parle de l'humanité![]()
C'est peut-être la seule nouvelle encourageante au final, si un extinction de masse se produit (je pense à homo sapiens), la terre pourra peut-être se régénérer et s'en portera que mieux...
Sans crier à la transformation radicale, il est vrai que cette période 8 ans est suffisante pour dire qu'il ne s'agit pas juste d'un passage transitoire..
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Climat : « l'anticyclone des Açores remonte plus vers le Nord depuis 2015 »
Question climat, que se passe-t-il vraiment dans l'Orne ? Nos lecteurs ont le sentiment d'un temps plus sec. Nous avons demandé l'avis de Pascal Scaviner, de Météo Consult.
« Ciel de feu » observé entre Ceaucé et Ambrières-les-Vallées, le 1er mars 2023, à la faveur d’un anticyclone avec flux de Sud. ©Le Publicateur Libre
Par Guillaume Jeanne
Publié le 19 Avr 23 à 17:13
En examinant les cartes météo, l’anticyclone des Açores semble de plus en plus envahissant au-dessus de la France, au point que certains parlent de lui changer de nom (Anticyclone du Golfe de Gascogne). Quel est le point de vue de Météo Consult sur le sujet ?
Votre préoccupation est légitime, car il est vrai que la position moyenne annuelle de l’anticyclone des Açores a évolué. L’axe qui le prolongeait par une dorsale en direction du Nord du Portugal, puis vers une limite entre l’Allemagne et la Suisse, est remonté vers le Nord depuis quelques années.
Plus vers le Nord depuis 2015
Un point de bascule semble avoir eu lieu en 2015. Avec un avant et un après.
En effet, depuis cette année-là si on compare ces 7 dernières années à la période 2000-2014 notamment, il y a un changement. L’anticyclone tend à s’étendre désormais vers le Sud du massif Central et le Sud de l’Allemagne. La pression en surface a augmenté ainsi de 0,5 hPa sur le Nord de l’Hexagone (y compris dans le Nord-Ouest et l’Orne). Cela peut paraître peu, mais c’est une anomalie significative.
Anticyclone des Açores
Quelles en sont les conséquences concrètes ?
Cela modifie la force moyenne des vents, actionne la hausse des températures, les périodes de sécheresse et de pluie, qui restent des marqueurs du réchauffement climatique.
Comme la Terre a chaud, elle déplace ses bandes
Sur le web, même si elles sont rarement évoquées à la télévision, les publications, sérieuses et vérifiées, sont nombreuses sur ce déplacement de l’anticyclone des Açores, et par extension, le déplacement des bandes d’anticyclones, Nord et Sud, vers le Nord et vers le Sud. C’est un problème majeur, traduisant, semble-t-il, bien plus qu’un changement transitoire, plutôt une tendance de fond.
L’une des nombreuses publications (sérieuses et vérifiées) de météorologues professionnels, concernant le déplacement des bandes d’anticyclones. A gauche, avant 2015. A droite, après.
La hausse de pression (favorable au temps sec et ensoleillé) est très nette (orange foncé) en particulier sur deux bandes horizontales, Nord et Sud. Ces cartes sont préoccupantes car elles établissent des moyennes de 8 ans (2008-2015 à gauche, 2015-2022 à droite), traduisant une tendance de fond. Les anomalies sont calculées en prenant comme base le climat « normal », des années 1970-2000. (©Climate Reanalyzer et University Of Maine (USA).)
C’est le cas par exemple avec Guillaume Séchet, créateur du site Météo-villes, suivi par Fabien Delacour, et Météo-France. Ce tweet du 15 février 2023, abondamment partagé, mais toujours d’actualité, en est une illustration probante. Produit par Climate Reanalyzer, et l’University Of Maine (USA), il montre ce changement net depuis 2015 : comme la Terre a chaud, elle déplace ses bandes climatiques
https://actu.fr/societe/climat-lanticyc ... 68978.html
Ceci dit, c'est un bon test pour les gens dans le Nord, ça permet de voir si ces espèces tiennent ou non ( et vu que j'habite pas loin ça me concerne aussi en passant
Oise
Hauts-de-France
Une trentaine d'arbres aux essences inédites viennent d'être plantées à Beauvais dans l'Oise, des variétés du sud de l'Europe, plus résistantes à la chaleur. Si ces espèces s'adaptent au climat picard, elles pourront être plantées en conséquence dans le reste de la ville.
Tilleuls, érables, maronniers, les arbres qui jalonnent les rues de Beauvais, dans l'Oise, sont mis à rude épreuve pendant les vagues de chaleur et sont menacés par le réchauffement climatique.
Pour prévenir la disparition de ses arbres, la mairie vient de planter dans un de ses quartiers, 37 espèces inédites, comme le Circus Ilex. "C'est un chêne vert, explique Aliaume Maillet, chef du service espaces verts. C'est un arbre du climat océanique, résistant à la sécheresse, donc plus adapté aux restrictions d'arrosage".
Dans cette rue, Pin Sylvestre, Micocoulier de Provence ou encore Jacaranda mimosifolia vont remplacer peu à peu les Sophoras du Japon. "Ces arbres ont été mis en place juste après-guerre, dans les années 50, des deux côtés de la rue, rappelle Olivier Ouin, responsable du patrimoine arboré. Elle faisait partie d'une des plus belles canopées de la ville. Malheureusement, suite à un diagnostic, il a été constaté qu'une bonne partie de ce patrimoine était atteint d'un champignon lignivore et qui ne permettait plus de les laisser en toute sécurité".
De nouvelles essences telles que le Jacaranda mimosifolia sont plantées à Beauvais. • © Haron Tanzit / FTV
"La rue va servir de laboratoire"
Plusieurs espèces vont être testées dans cette rue. Le choix s'est porté sur des arbres au feuillage caduc ou persistant, d'autres, comme le Jacaranda, ont été privilégiés pour leur aspect horticole. "C'est un arbre qu'on voit en méditerranée, à Grasse notamment. Ce sont des arbres extraordinaires en termes de floraison qui sont très peu résistants au gel. Donc c'est vraiment un essai"
La décision est prise. La rue va servir de laboratoire. "On a des espèces endémiques à notre territoire qui sont en souffrance par le réchauffement climatique, le stress hydrique, le manque d'eau. On s'est dit que c'était aujourd'hui qu'il fallait tester en milieu urbain des espèces méditerranéennes et voir si elles sont adaptées à notre territoire".
Dans sa démarche, la ville s'épaule de l'institut UNI Lasalle. Des étudiants chercheurs assureront le suivi et apporteront leur aide pour confirmer ou non la pertinence de ces choix sur les cinquante ans à venir. "Dans le futur, annonce Mamadou Ly, adjoint à la vie urbaine et à la proximité, à chaque fois qu'on va planter des arbres, on pourra prendre l'exemple ici pour le transposer dans d'autres secteurs de la ville".
Avec Lena Malval / FTV
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 62542.html
Pourtant l'Histoire montre exactement le contraire.Fredlejardinier a écrit : ↑05 avr. 2023 14:12 je ne crois pas à « une intelligence globale » les plus riches survivront…Les plus pauvres périront.
Pour s’adapter il faut du temps, nous n’en avons pas !
https://climatescience2030.com/fr/?utm_ ... YWEALw_wcBPlus le réchauffement s’intensifiera, plus les pertes et dommages issus du changement climatique se multiplieront. Ils dépasseront bien souvent les limites de notre capacité d’adaptation et de celle de notre planète.