


bientot des cactus au pays du clacosWeeviL a écrit :oui ça change ! perdition du flux zonal en synchronisation avec l'arrêt du gulf stream![]()
le changement c'est maintenantsaison 2018 de ouff pour la Normandie
![]()
vive le marais barométrique
C'est surtout ça qui est flagrant !c'est une instabilité permanente et brutale du climat ici ,
oui ce seront les nouvelles mamelles du paysPalmetum a écrit :pilou un vrai frileux
bientot des cactus au pays du clacosWeeviL a écrit :oui ça change ! perdition du flux zonal en synchronisation avec l'arrêt du gulf stream![]()
le changement c'est maintenantsaison 2018 de ouff pour la Normandie
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vive le marais barométrique
pas vraiment "polaire" car on a quand même le sens de la rotation de la terre avec nous( surtout avec ceux de la côte atlantique en fait) ...on aura donc pas les hivers de boston par exemple mais c est sur qu il fera plus froidfascicularia a écrit :En Europe, si le gulf stream ralentit , on aura plutôt des hivers polaires. On sera loin de pouvoir faire des plantations exotiques.
C'est finalement le seul réchauffement qui nous intéressecette cartographie apparaît comme la superposition de deux signaux pré-
sentant des caractéristiques distinctes, ce dont on s’aperçoit en dressant la cartographie
des tendances des températures minimales (figure 5a) et maximales (figure 5b). Les
températures minimales sont plus en hausse (de 0,7 à 1,7 °C/siècle) que les maximales
(de 0 à 1,3 °C/siècle). Cette différence de comportement entre températures minimales
et maximales est cohérente avec les conclusions du Giec, qui
évoquent une hausse deux fois plus grande des températures
minimales continentales lors de la seconde moitié du 20ème siècle.
L’accroissement sur un siècle des températures moyennes en France est important
(de 0,7 °C à plus de 1 °C). Celui des températures minimales se distingue de celui
des températures maximales par son amplitude, sa répartition géographique et sa
répartition saisonnière. Les minimales ont plus augmenté que les maximales et
l’amplitude diurne est en baisse sur la majorité du territoire. Les minimales ont le
plus augmenté à l’ouest et les maximales au sud, ce qui fait que l’augmentation de
la température moyenne est maximale sur le sud-ouest du territoire. L’accroisse-
ment des minimales trouve ses extrema lors des saisons marquées (avec un maxi-
mum l’été), tandis que celui des maximales les trouve lors des saisons
intermédiaires (avec un maximum l’automne).
J'ai pas fini de la parcourir, mais c'est effectivement intéressant. Une mise à jour incluant les 15 dernières années serait bienvenue.Cyrano a écrit :Je viens de lire cet article passionnant : http://documents.irevues.inist.fr/bitst ... sequence=1
Concernant l'augmentation principalement des minimales, comme je suis un mauvais coucheur et que je les trouve toujours trop basse en hiver, j'ai surtout vu cela :Cyrano a écrit :C'est finalement le seul réchauffement qui nous intéresse![]()
Damned ! C'est dommage pour les acclimateurs fous !Pour les températures minimales (tableau 3), il n’y a aucune saison où l’on trouve des séries à la baisse, ce qui illustre à nouveau la vigueur de l’accroissement des minimales au cours du XXe siècle en France. En été, il n’y a que des hausses significatives, alors qu’en automne et au printemps les hausses significatives sont largement majoritaires. L’hiver se distingue par un pourcentage plus faible de hausses significatives.
Ces évolutions saisonnières traduisent une accentuation des contrastes saisonniers, la saison chaude se réchauffant plus que la saison froide.