palmiers géants?
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cdlt,
cremailh ingwild 11
Tahina spectabilis: racourci palmier géant new
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crémailh
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Tahina spectabilis: racourci palmier géant new
salut,
palmiers géants?
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palmiers géants?
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"Peut-être Dieu a-t-il crée le désert pour que l'homme puisse se réjouir à la vue de palmiers"
extrait de l'alchimiste
La passion commence là où la raison s'arrête.(ingwild)
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manuvericel
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C'est sûr qu'il en reste à découvrir! au rytme ou des espèces nouvelles de Trachycarpus sont découvertes chaque année, ce serait le diable si on ne trouvait pas encore quelques vallées isolées d'altitude avec leur petit bijouecolojon a écrit :ouah ! si on découvre encore des palmiers de cette hauteur à Mada, il reste peut-être un paquet de plus petits à découvrir dans les sous-bois.
MANU
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olivier971
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Re: racourci palmier géant new
crémailh a écrit :salut,
palmiers géants?
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HiHi , la photo qu'il y a sur ton lien n'a vraiment rien à voir avec l'espece découverte
c"est une espece à feuilles pénnées alors que l'espece découverte à Mada à les feuilles palmées.
En voici quelques photos ...
Olivier
Mes albums photos
Mes albums photos
Bonjor à vous tous fous de palmiers. Je viens de m'inscrire sur ce site car cela fait deux ans que je "joue" sur le forum anglophone "palmtalk". Et je voulais réparer une injustice: la presse française a très peu parlé de ce phénomène et ça m'ennerve. Le monde entier en a parlé, dans toutes les langues. Tapez tahina spectabilis dans google et vous verrez tout ce qui sort.
Mais c'est grâce à "palmtalk" que ce palmier a été sorti de son anonymat malgache.
Xavier, le découvreur est un ami d'enfance, de Madagascar. J'y habite de nouveau depuis deux ans. Je vous joins donc le petit article que j'ai écrit pour "la gazette des jardins" et qui paraîtra dans l'édition de mars.
J'espère que vous vibrerez autant que nous pendant cette découverte... Bonne lecture. bruno.
Je vous mets aussi, pour ceux qui lisent bien l'anglais, le lien qui a permis "l'affaire": il a été lu 6000 fois, c'est dire l'excitation qui s'est emparée de nous tous. Vivent les fous de palmiers.. Je mets l'article sur le post suivant.
http://palmtalk.org/cgi-bin/forum/ikonb ... f=1;t=2299
Mais c'est grâce à "palmtalk" que ce palmier a été sorti de son anonymat malgache.
Xavier, le découvreur est un ami d'enfance, de Madagascar. J'y habite de nouveau depuis deux ans. Je vous joins donc le petit article que j'ai écrit pour "la gazette des jardins" et qui paraîtra dans l'édition de mars.
J'espère que vous vibrerez autant que nous pendant cette découverte... Bonne lecture. bruno.
Je vous mets aussi, pour ceux qui lisent bien l'anglais, le lien qui a permis "l'affaire": il a été lu 6000 fois, c'est dire l'excitation qui s'est emparée de nous tous. Vivent les fous de palmiers.. Je mets l'article sur le post suivant.
http://palmtalk.org/cgi-bin/forum/ikonb ... f=1;t=2299
antananarivo madagascar altitude 128o m
DECOUVERTE D UN PALMIER GEANT A MADAGASCAR
J'ai toujours eu un faible pour les palmiers ; sans doute parce que je suis né et j'ai grandi dans un pays où plus de 170 variétés endémiques ont été décrites : Madagascar.
Mais j'ai vécu en France 28 ans et mis à part le palmier chinois trachycarpus fortunei, aucun autre palmier n'a voulu survivre plus de deux ans dans mon jardin provençal. C'est donc avec une intense délectation que je suis revenu « vivre au pays ». Dans mon jardin, hérité de mes parents, je viens de planter 32 variétés de palmiers malgaches, quel bonheur de voir ces petites choses pousser sans risque de gel !
Mais là n'est point le but de mon histoire.
En effet, il y a un peu plus d'un an, je recevais à dîner l'un de mes amis d'enfance Xavier Metz et je lui racontai ma passion pour les palmiers. A son tour, il me raconta son histoire de palmier. Il est directeur d'une plantation de cajou au nord ouest de Madagascar, en pleine brousse, sans aucun accès automobile possible, seul l'avion ou le bateau peuvent vous y mener.
Il lui arrive souvent d'aller se balader assez loin sur les terres qui l'entourent et au cours de l'une de ses promenades, avec épouse et enfants, la famille voit sur un « tsingy »,
(une formation de rochers karstiques qui se dresse hors du sol) un gigantesque palmier en haut duquel jaillit une tige, gigantesque aussi, couverte de graines. Il cherche dans les livres dont il dispose une référence à ce phénomène mais rien.
Arrive donc le dîner chez moi.
Il me propose alors de m'envoyer des photos et je les « posterai » sur internet, sur le site des dingos de palmiers anglophones où je passe des heures tous les soirs à discuter de notre passion commune.
Le titre que je propose pour ce sujet est : « borassus ou corypha à Madagascar ».
Borassus est une variété endémique, un très gros palmier qui pousse dans cette région et Corypha, auquel il ressemble beaucoup, est originaire d'asie du sud est mais, à la connaissance des botanistes, il n'y en a jamais eu à Madagascar. Sur les photos on peut voir qu'il s'agit d'un grand palmier à tronc unique surmonté d'une inflorescence gigantesque et aux feuilles palmées, On peut y voir aussi Xavier et ses enfants, minuscules sous le géant.
Tout le monde donnait son avis :
« y a-t-il des épines sur les feuilles - non ! »
« Si l'inflorescence est vers le haut, cela peut être corypha qui fait ses graines par le haut et meurt, mais il n'a pas d'épines ». Ce corypha aurait pu être introduit au temps de la colonie mais la région est bien trop sauvage pour que cela soit possible.
« Ce ne peut être borassus car il fait ses graines au milieu des feuilles ». Etc.
Vous imaginez bien qu'au bout de quelques jours, tout le monde anglophone des palmiers était au comble de l'excitation ! L'un des nôtres eut alors l'idée de faire part à John Dransfield de cette excitation. John Dransfield est un spécialiste des palmiers, directeur de recherche à Kew pendant plus de trente ans. Il a écrit un superbe livre sur les palmiers de Madagascar.
Celui-ci m'a contacté par courriel et demandé s'il était possible que j'emmène sur le site, son jeune élève en botanique malgache Mijoro Rakotoarinivo.
Je pris contact avec Xavier qui organisa notre voyage pour que nous puissions arriver sur son site inaccessible comme dit plus haut.
Voyage de huit heures d'abord en voiture pour atteindre Majunga, une petite ville portuaire puis attente de deux jours que la piste d'aviation soit praticable car nous étions en pleine saison des pluies, donc boue et flaques. Arrivée entre deux éclaircies.
L'exploitation de cajou se trouve sur des « tanety » (collines de terre rouge) dont un spécialiste des sols venus tout exprès d'Europe pour l'étudier a conclu non sans humour : « cette terre est parfaite pour en faire des briques » .Quant à la maison de Xavier et Nathalie, elle se trouve sur une falaise face à la mer, un spectacle que l'on oublie pas.
C'est seulement le lendemain que notre petite troupe se met en route en Land Rover pour aller à la rencontre de notre futur illustre inconnu.
Il nous faut au préalable passer par le chef de village, que nous attendons un long moment avant de nous diriger vers le sanctuaire. Une petite prière aux esprits avec force bouteilles de rhum est indispensable pour nous laisser aborder l'endroit qui peut être « fady » c'est-à -dire tabou. Car il y a non seulement des palmiers mais aussi, sous un surplomb rocheux, de vieux cercueils éventrés dont personne au village ne connaît l'origine. Sans doute les premiers migrants de l'île, (ça c'est moi qui le dit, je ne suis pas anthropologue, juste dingue de palmiers et jardinier).
Une fois près du « tsingy » quel spectacle ! Nous avons de l'eau jusqu'aux genoux car c'est la pleine saison des pluies. Le palmier par contre est juste au bord de l'eau, son pied n'est pas immergé. Un des hommes de Xavier est chargé de monter sur l'arbre pour prélever une feuille et quelques branches de l'inflorescence avec les graines pour l'étude botanique.
C'est seulement lorsque je vois cet homme en haut de l'arbre au pied de cette inflorescence, que je me rend vraiment compte de la taille de celle-ci : au moins la hauteur d'un immeuble de trois étages ! C'est fascinant.
Nous sommes tous très excités, je me mets à ramasser toutes les graines que je peux, Xavier s'y met aussi, et Joro, lui est tout à son travail de botaniste, c'est-à -dire découper la feuille de 4 mètres de diamètre pour pouvoir la rendre transportable jusqu'en Angleterre à Kew et mettre les graines qu'il a récolté dans l'alcool à 70% qui les préservera.
Sur la centaine de palmiers répartis autour du tsingy y compris les jeunes de cette année, un seul est en fleur. Ils sont plus ou moins grands ou gros, un seul tronc gît à terre, vestige et témoin d'une autre fleur qui a tué son propriétaire. En effet, la caractéristique de ce palmier est de vivre peut être 50 à 100 ans, de produire cette énorme inflorescence et de mourir. Les raphias et les corypha font de même.
Tout a une fin malheureusement, même notre passion pour cette découverte. Il s'agit maintenant de laisser les scientifiques étudier les végétaux pour les faire parler. Plusieurs laboratoires se sont partagés la tâche : des fragments du pétiole ont été envoyé à Jack Fisher et Jay Horn au Fairchild Botanical garden en Floride pour l'étude anatomique, et la feuille à Ross Bayton du laboratoire Jodrell à Kew pour en extraire l'ADN.
Il leur fut immédiatement évident que le palmier n'appartenait pas au genre corypha mais se rapprochait du genre chuniophoenix dans lequel on trouve le nannorrhops et le kerriodoxa. Ce qui est curieux car ces deux palmiers sont plutôt petits alors que le nouveau est énorme.
Toutes les recherches aboutirent à la conclusion qu'il s'agissait carrément d'un nouveau genre à lui tout seul ! Ce fut la nouvelle incroyable du jour. Trouver à Madagascar un nouveau genre, et dans une région pratiquement aride, l'ouest, est vraiment un évènement.
Il s'agissait maintenant de lui trouver un nom. Beaucoup de propositions furent faites sur le site, c'est alors que Xavier proposa le nom « Tahina », qui en malgache veut dire « béni » ou « qui doit être protégé ». Il fut adopté instantanément par toutes les parties car en plus c'est le prénom de l'une des filles de Xavier qui avait été très intéressée par les évènements.
Elle s'appelle Anne Tahina.
Et finalement, car c'est un spectacle qui se voit de loin, il devint « Tahina Spectabilis ».
Sa présentation officielle a eu lieu le jeudi 17 janvier 2008 au Fairchild Botanical garden en Floride par John Dransfield.
Et si vous voulez jouer au détective sur internet, tapez « Tahina Spectabilis » dans google, toutes les langues du monde en parlent, sauf en France, bien sûr, à peine quelques lignes Nul n'est prophète en son pays. Heureusement qu'il y a « la gazette des jardins » ! et le forum des fous de palmiers
Bruno leroy
J'ai toujours eu un faible pour les palmiers ; sans doute parce que je suis né et j'ai grandi dans un pays où plus de 170 variétés endémiques ont été décrites : Madagascar.
Mais j'ai vécu en France 28 ans et mis à part le palmier chinois trachycarpus fortunei, aucun autre palmier n'a voulu survivre plus de deux ans dans mon jardin provençal. C'est donc avec une intense délectation que je suis revenu « vivre au pays ». Dans mon jardin, hérité de mes parents, je viens de planter 32 variétés de palmiers malgaches, quel bonheur de voir ces petites choses pousser sans risque de gel !
Mais là n'est point le but de mon histoire.
En effet, il y a un peu plus d'un an, je recevais à dîner l'un de mes amis d'enfance Xavier Metz et je lui racontai ma passion pour les palmiers. A son tour, il me raconta son histoire de palmier. Il est directeur d'une plantation de cajou au nord ouest de Madagascar, en pleine brousse, sans aucun accès automobile possible, seul l'avion ou le bateau peuvent vous y mener.
Il lui arrive souvent d'aller se balader assez loin sur les terres qui l'entourent et au cours de l'une de ses promenades, avec épouse et enfants, la famille voit sur un « tsingy »,
(une formation de rochers karstiques qui se dresse hors du sol) un gigantesque palmier en haut duquel jaillit une tige, gigantesque aussi, couverte de graines. Il cherche dans les livres dont il dispose une référence à ce phénomène mais rien.
Arrive donc le dîner chez moi.
Il me propose alors de m'envoyer des photos et je les « posterai » sur internet, sur le site des dingos de palmiers anglophones où je passe des heures tous les soirs à discuter de notre passion commune.
Le titre que je propose pour ce sujet est : « borassus ou corypha à Madagascar ».
Borassus est une variété endémique, un très gros palmier qui pousse dans cette région et Corypha, auquel il ressemble beaucoup, est originaire d'asie du sud est mais, à la connaissance des botanistes, il n'y en a jamais eu à Madagascar. Sur les photos on peut voir qu'il s'agit d'un grand palmier à tronc unique surmonté d'une inflorescence gigantesque et aux feuilles palmées, On peut y voir aussi Xavier et ses enfants, minuscules sous le géant.
Tout le monde donnait son avis :
« y a-t-il des épines sur les feuilles - non ! »
« Si l'inflorescence est vers le haut, cela peut être corypha qui fait ses graines par le haut et meurt, mais il n'a pas d'épines ». Ce corypha aurait pu être introduit au temps de la colonie mais la région est bien trop sauvage pour que cela soit possible.
« Ce ne peut être borassus car il fait ses graines au milieu des feuilles ». Etc.
Vous imaginez bien qu'au bout de quelques jours, tout le monde anglophone des palmiers était au comble de l'excitation ! L'un des nôtres eut alors l'idée de faire part à John Dransfield de cette excitation. John Dransfield est un spécialiste des palmiers, directeur de recherche à Kew pendant plus de trente ans. Il a écrit un superbe livre sur les palmiers de Madagascar.
Celui-ci m'a contacté par courriel et demandé s'il était possible que j'emmène sur le site, son jeune élève en botanique malgache Mijoro Rakotoarinivo.
Je pris contact avec Xavier qui organisa notre voyage pour que nous puissions arriver sur son site inaccessible comme dit plus haut.
Voyage de huit heures d'abord en voiture pour atteindre Majunga, une petite ville portuaire puis attente de deux jours que la piste d'aviation soit praticable car nous étions en pleine saison des pluies, donc boue et flaques. Arrivée entre deux éclaircies.
L'exploitation de cajou se trouve sur des « tanety » (collines de terre rouge) dont un spécialiste des sols venus tout exprès d'Europe pour l'étudier a conclu non sans humour : « cette terre est parfaite pour en faire des briques » .Quant à la maison de Xavier et Nathalie, elle se trouve sur une falaise face à la mer, un spectacle que l'on oublie pas.
C'est seulement le lendemain que notre petite troupe se met en route en Land Rover pour aller à la rencontre de notre futur illustre inconnu.
Il nous faut au préalable passer par le chef de village, que nous attendons un long moment avant de nous diriger vers le sanctuaire. Une petite prière aux esprits avec force bouteilles de rhum est indispensable pour nous laisser aborder l'endroit qui peut être « fady » c'est-à -dire tabou. Car il y a non seulement des palmiers mais aussi, sous un surplomb rocheux, de vieux cercueils éventrés dont personne au village ne connaît l'origine. Sans doute les premiers migrants de l'île, (ça c'est moi qui le dit, je ne suis pas anthropologue, juste dingue de palmiers et jardinier).
Une fois près du « tsingy » quel spectacle ! Nous avons de l'eau jusqu'aux genoux car c'est la pleine saison des pluies. Le palmier par contre est juste au bord de l'eau, son pied n'est pas immergé. Un des hommes de Xavier est chargé de monter sur l'arbre pour prélever une feuille et quelques branches de l'inflorescence avec les graines pour l'étude botanique.
C'est seulement lorsque je vois cet homme en haut de l'arbre au pied de cette inflorescence, que je me rend vraiment compte de la taille de celle-ci : au moins la hauteur d'un immeuble de trois étages ! C'est fascinant.
Nous sommes tous très excités, je me mets à ramasser toutes les graines que je peux, Xavier s'y met aussi, et Joro, lui est tout à son travail de botaniste, c'est-à -dire découper la feuille de 4 mètres de diamètre pour pouvoir la rendre transportable jusqu'en Angleterre à Kew et mettre les graines qu'il a récolté dans l'alcool à 70% qui les préservera.
Sur la centaine de palmiers répartis autour du tsingy y compris les jeunes de cette année, un seul est en fleur. Ils sont plus ou moins grands ou gros, un seul tronc gît à terre, vestige et témoin d'une autre fleur qui a tué son propriétaire. En effet, la caractéristique de ce palmier est de vivre peut être 50 à 100 ans, de produire cette énorme inflorescence et de mourir. Les raphias et les corypha font de même.
Tout a une fin malheureusement, même notre passion pour cette découverte. Il s'agit maintenant de laisser les scientifiques étudier les végétaux pour les faire parler. Plusieurs laboratoires se sont partagés la tâche : des fragments du pétiole ont été envoyé à Jack Fisher et Jay Horn au Fairchild Botanical garden en Floride pour l'étude anatomique, et la feuille à Ross Bayton du laboratoire Jodrell à Kew pour en extraire l'ADN.
Il leur fut immédiatement évident que le palmier n'appartenait pas au genre corypha mais se rapprochait du genre chuniophoenix dans lequel on trouve le nannorrhops et le kerriodoxa. Ce qui est curieux car ces deux palmiers sont plutôt petits alors que le nouveau est énorme.
Toutes les recherches aboutirent à la conclusion qu'il s'agissait carrément d'un nouveau genre à lui tout seul ! Ce fut la nouvelle incroyable du jour. Trouver à Madagascar un nouveau genre, et dans une région pratiquement aride, l'ouest, est vraiment un évènement.
Il s'agissait maintenant de lui trouver un nom. Beaucoup de propositions furent faites sur le site, c'est alors que Xavier proposa le nom « Tahina », qui en malgache veut dire « béni » ou « qui doit être protégé ». Il fut adopté instantanément par toutes les parties car en plus c'est le prénom de l'une des filles de Xavier qui avait été très intéressée par les évènements.
Elle s'appelle Anne Tahina.
Et finalement, car c'est un spectacle qui se voit de loin, il devint « Tahina Spectabilis ».
Sa présentation officielle a eu lieu le jeudi 17 janvier 2008 au Fairchild Botanical garden en Floride par John Dransfield.
Et si vous voulez jouer au détective sur internet, tapez « Tahina Spectabilis » dans google, toutes les langues du monde en parlent, sauf en France, bien sûr, à peine quelques lignes Nul n'est prophète en son pays. Heureusement qu'il y a « la gazette des jardins » ! et le forum des fous de palmiers
Bruno leroy
antananarivo madagascar altitude 128o m
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BLACHERE Eric
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- Localisation : VALAURIE ARRIERE PAYS PROVENCAL, ZONE 9A, climat méditerranéen.
Bonsoir Tanety,
j'ai bien aimé ton récit
ça ressemble à un roman fiction, par contre je n'ai pas aimé le premier chapître 
. Nul besoin d'aller à Madagascar pour voir autre chose que des Trachycarpus fortunei dans son jardin, en Provence on peut voir une cinquantaine d'espèces différentes de palmiers au moins et une quinzaine de genres différents (c'est ce qui se trouve dans mon jardin). Bien sùr ce ne sont pas des tropicaux comme à Madagascar ils poussent peut être moins vite, mais je les aiment
.
Et puis pour les zones froides de France on peut toujours créer une fôret de Trachycarpus fortunei, ça doit être magnifique. Voir une forêt de ça http://www.fousdepalmiers.fr/html/forum ... php?t=1709 (encore merci Stéphane pour les magnifiques photos)
j'ai bien aimé ton récit
ça ressemble à un roman fiction, par contre je n'ai pas aimé le premier chapître . Nul besoin d'aller à Madagascar pour voir autre chose que des Trachycarpus fortunei dans son jardin, en Provence on peut voir une cinquantaine d'espèces différentes de palmiers au moins et une quinzaine de genres différents (c'est ce qui se trouve dans mon jardin). Bien sùr ce ne sont pas des tropicaux comme à Madagascar ils poussent peut être moins vite, mais je les aiment.Et puis pour les zones froides de France on peut toujours créer une fôret de Trachycarpus fortunei, ça doit être magnifique. Voir une forêt de ça http://www.fousdepalmiers.fr/html/forum ... php?t=1709 (encore merci Stéphane pour les magnifiques photos)
Eric.
Gregory, les graines seront récoltées peut être cette semaine. Et pour en avoir il faudra les demander à Kew gardens de Londres. C'est un pépinièriste anglais qui est chargé de les distribuer aux jardins botaniques du monde et aux amateurs.
Eric, tu m'étonnes vraiment avec tes 50 espèces de palmiers! Surtout à Valaurie, si c'est le Valaurie de la Drôme! En 1986 il a fait -17°C dans mon jardin pendant 15 jours. En 1987, j'ai eu droit à -15 pendant 10 jours. C'est à 7 km de Nyons au bord de la rivière Aygues. Je n'ai plus replanté autre chose que des Trachy.F... Dis moi ce qu'il y a chez toi ça m'intéresse.
Je pose une question: est ce que ça vous intéresse de lire les petits articles que j'écris sur quelques variétés de palmiers malgaches pour les amateurs locaux? Ceux qui résistent à quelques degrés en dessous de zéro? et d'autres très apprécié des anglophones?
Eric, tu m'étonnes vraiment avec tes 50 espèces de palmiers! Surtout à Valaurie, si c'est le Valaurie de la Drôme! En 1986 il a fait -17°C dans mon jardin pendant 15 jours. En 1987, j'ai eu droit à -15 pendant 10 jours. C'est à 7 km de Nyons au bord de la rivière Aygues. Je n'ai plus replanté autre chose que des Trachy.F... Dis moi ce qu'il y a chez toi ça m'intéresse.
Je pose une question: est ce que ça vous intéresse de lire les petits articles que j'écris sur quelques variétés de palmiers malgaches pour les amateurs locaux? Ceux qui résistent à quelques degrés en dessous de zéro? et d'autres très apprécié des anglophones?
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BLACHERE Eric
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- Localisation : VALAURIE ARRIERE PAYS PROVENCAL, ZONE 9A, climat méditerranéen.
Brahea Armata
Brahea Clara
Brahea Edulis
Butia Capitata
Butia Yatay
X Butiagrus Nabonnandii à planter au printemps
Chamaedorea Microspadix à planter au printemps
Chamaedorea Radicalis à planter au printemps
Chamaerops Humilis
Chamaerops Humilis var. Cerifera
Chamaerops Humilis var. Vulcano
Chamaerops Humilis var.lusitanica (bleu) à planter au printemps
Jubaea Chilensis
X Jubutia à planter au printemps
Livistona Australis à planter au printemps
Livistona Chinensis à planter au printemps
Livistona Decipiens à planter au printemps
Parajubaea Torallyi var. Torallyi à planter au printemps
Phoenix Canariensis
Phoenix Canariensis à fruits rouges
Phoenix Dactylifera var. Deglet Nour
Phoenix Dactylifera var. Medjool
Phoenix Golkoy
Phoenix Roebelenii
Phoenix Sylvestris
Phoenix Theophrastii
Sabal Bermudana
Sabal causiarum à planter au printemps
Sabal Mexicana
Sabal Minor
Sabal Palmetto
Sabal Uresana à planter au printemps
Syagrus Romanzoffiana
Syagrus Litoralis à planter au printemps
Trachycarpus Fortunei
Trachycarpus Latisectus à planter au printemps
Trachycarpus Princeps bleu à planter au printemps
Trachycarpus Princeps vert à planter au printemps
Trachycarpus Wagnerianus
Trachycarpus Wagnerianus X Fortunei
Washingtonia Filifera
Washingtonia Robusta
Washingtonia Robusta var. Gracilis
Washingtonia filibusta
Je pense n'avoir rien oublié
Cela ne fait pas 50 mais pas loin, bien d'autres espèces rustiques peuvent s'acclimater ici notament chez les Sabal, Butia, et Trachycarpus, mais je me freine car la place va me manquer d'autant plus que j'ai rarement un seul palmier par espèce
Brahea Clara
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Chamaedorea Microspadix à planter au printemps
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Chamaerops Humilis
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Chamaerops Humilis var. Vulcano
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Phoenix Canariensis
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Phoenix Dactylifera var. Deglet Nour
Phoenix Dactylifera var. Medjool
Phoenix Golkoy
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Sabal Bermudana
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Sabal Mexicana
Sabal Minor
Sabal Palmetto
Sabal Uresana à planter au printemps
Syagrus Romanzoffiana
Syagrus Litoralis à planter au printemps
Trachycarpus Fortunei
Trachycarpus Latisectus à planter au printemps
Trachycarpus Princeps bleu à planter au printemps
Trachycarpus Princeps vert à planter au printemps
Trachycarpus Wagnerianus
Trachycarpus Wagnerianus X Fortunei
Washingtonia Filifera
Washingtonia Robusta
Washingtonia Robusta var. Gracilis
Washingtonia filibusta
Je pense n'avoir rien oublié
Cela ne fait pas 50 mais pas loin, bien d'autres espèces rustiques peuvent s'acclimater ici notament chez les Sabal, Butia, et Trachycarpus, mais je me freine car la place va me manquer d'autant plus que j'ai rarement un seul palmier par espèce
Modifié en dernier par BLACHERE Eric le 25 janv. 2008 11:45, modifié 1 fois.
Eric.
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BLACHERE Eric
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- Localisation : VALAURIE ARRIERE PAYS PROVENCAL, ZONE 9A, climat méditerranéen.
Bonjour Tanety,
Ici plus d'hiver de cet ordre depuis, -6° mini, jamais de gels diurnes, souvent trés ensolleillé.
De plus il y a beaucoup de contraste de minima dès que l'on s'éloigne du Rhône, autant du côté Est vers les pré-Alpes que du côté Ouest vers la haute Ardèche. Si ton ex jardin se trouve à 7km, même à l'Ouest de Nyons, il doit y faire plus froid que chez moi car je suis à 33km à l'Ouest de Nyons et les minima change vite en peu de km ici.
Bien sùr on est pas à l'abri d'un événement climatique exceptionnel mais si on plante en pensant à cela on ne va pas planter beaucoup d'exotiques. Et si c'est pour avoir le même jardin que son voisin , trés peu pour moi.
le minima de -6° est de moins en moins atteint, maintenant de plus en plus -4°/-5°.
Ici plus d'hiver de cet ordre depuis, -6° mini, jamais de gels diurnes, souvent trés ensolleillé.
De plus il y a beaucoup de contraste de minima dès que l'on s'éloigne du Rhône, autant du côté Est vers les pré-Alpes que du côté Ouest vers la haute Ardèche. Si ton ex jardin se trouve à 7km, même à l'Ouest de Nyons, il doit y faire plus froid que chez moi car je suis à 33km à l'Ouest de Nyons et les minima change vite en peu de km ici.
Bien sùr on est pas à l'abri d'un événement climatique exceptionnel mais si on plante en pensant à cela on ne va pas planter beaucoup d'exotiques. Et si c'est pour avoir le même jardin que son voisin
, trés peu pour moi.le minima de -6° est de moins en moins atteint, maintenant de plus en plus -4°/-5°.
Eric.