Ber - "Que l'on lutte contre cet insecte certes, je ne peux qu'abonder dans ce sens, mais peut-être pas au point de répandre des produits dangereux pouvant atteindre la faune autochtone (et notre santé ?), je crois que c'est ce que Mbokaja voulait dire. (même s'il a manqué de diplomatie)
De plus, ce ravageur ne s'attaque qu'à des espèces exotiques d'ornement, et non à notre flore et donc ne déstabilise aucunement notre environnement, 'faut pas exagére "
Moi-" Ce que je veux dire Vincent c'est que je ne peux pas laisser dire que ce papillon doit pouvoir vivre sa vie dans notre pays comme n'importe quelles autres espèces endémiques ; dire ça est une absurdité et le dire de cette manière n'est en rien discourtois."
Par ailleurs dire qu'il ne déstabilise pas notre environnement n'est pas exacte puisqu'il défigure le paysage de nos côtes et par la même risque d'impacter l'économie de ces régions. En outre, rien n'est certifié que ce papillon en restera aux seuls palmiers dés lors que ces derniers auront peu ou prou disparus ; c'est sous estimer l'incroyable adaptation des invertébrés, sans oublier d'éventuelles mutations toujours envisageables dans des circonstances de survie. Qui peut à ce jour me certifier que ce que j'avance ne pourrait se produire!?
Pour information, je ne suis pas du genre à trouver des circonstance atténuantes lorsque le citoyen que nous sommes se défile fasse à ses obligations, c'est même plutôt l'inverse au dire de ma famille et de mes amis ; il n'empêche, si les autorités avaient dés le départ pris les choses très au sérieux pour éradiquer le fléau, nous n'en serions pas là aujourd'hui, et en rien qu'en je dis ça, ne laisse supposer que le propriétaire d'un palmier ne doive ce dédouaner de ses responsabilités ni de son devoir. c'est une lutte conjointe et solidaire qui doit se mettre en branle sans quoi cette lutte ne saurait être réellement efficace.
Enfin et pour en terminer après je le jure je fermerai ma grande gueule.
Je suis tout à fait conscient que ce que j'ai pu écrire au sujet du traitement par insecticide de synthèse ait pu choquer, mais regardons les choses d'une façons un peu moins morale et plus pragmatique ; si dés le départ des infestations on avait mis en place ce genre de traitement, la chose serait très certainement à ce jour en point de se régler sans que ( là aussi il ne faut pas exagérer) on ait le sentiment d'avoir empoisonné et éradiquer toutes la faunes et auxiliaires utiles de notre pays)
les traitements à répétitions dans les champs de nos campagnes font bien plus de dégât sans que grand monde ne s'en émeuve plus que ça.
Et tout ça, alors que j'ai peu de palmier dans le jardin
Bon ok si j'ai pu froisser, je m'en excuse, la réaction à chaud est toujours mauvaise conseillère, mais vous ne me ferai pas changer d'avis
D'ordinaire, je me range plutôt vers les écologistes et la défense de la nature qui me tient à cœur, mais ne vaut-il pas mieux sacrifier l'oeuf à la poule plutôt que l'inverse? à méditer