Oui, il est mignon et j'adore entendre leurs cris stridents qui trahissent leur présence, souvent avant qu'on ne puisse les voir à proximité de leur terrier.
Je me souviens notamment les avoir vu boxer sur le sentier de la cabane de l'A Neuve, au-dessus de Fouly, en Valais ou se gaver avant l'hiver entre l'Eggishorn et la lac de Märjelen, au pied du glacier d'Aletsch.
Peut-être que Nicolas en voit brouter entre ses palmiers.
Dans le Jura, derrière Chasseron, les bobets en mountain bike, qui dévalent partout les pentes comme des forcenés et les "troupeaux" de touristes citadins ont contribué à les faire fuir de leurs prairies préférées. Certes, elles ne sont pas trop craintives, mais tout ce charivari sur leurs tête les incommode.