Re: Les zones UDSA version palmiers
Posté : 03 mars 2012 21:14
Hello leotropdalbv
!
Je trouve ta démarche de prudence intéressante. Le fait d'avoir un choix plus réduit a l'avantage d'avoir moins d'échecs.
Et puis on peut toujours faire des essais hardi, mais l'important c'est d'en être conscient. La déception sera moins grande.
Quant aux Trachy, je pense que ta région peut être classifiée zone Trachy, même si, comme tu le dis, il pourrait parfois y avoir des problèmes. Mais il me semble que ces cas soient rares et que d'une vague à l'autre les palmiers peuvent se reconstituer.
Si tu permet juste une petite précision concernant les zones USDA. Le fait d'être en 8b ne signifie pas prendre régulièrement entre -6,7°C et - 9.4°C. Cela signifique que la moyenne des températures minimales absolues sur 30 ans donne une valeur comprise entre -6.7 et - 9.4°C Autrement dit, il y a plusieurs zones 8b, d'un point de vue purement climatologique. Il y a le 8b inférieur moyen et supérieur.
Quelle est la différence entre 8b supérieur et 9a inférieur? Quelles conséquence peut-on en tirer pratiquement? D'un point de vue climatologique, aucune conséquence pratique. Mais d'un point de vue des plantes indicatrice prévue par le système la différence n'est pas petite.
Comme je l'ai déjà souvent rappelé, le système USDA est conçu et ne peut fonctionner qu'en combinaison avec les plantes indicatrices prévue par le système lui même. Pour tenir compte éventuellement de la différence de latitude des zone 8 à 11 présentes aux Etats-Unis, il serait possible de faire la même démarche qui avait été faite aux Etats Unis lors de la création du système USDA c'est à dire:
- attribution du critère climatologique USDA à chaque région
- étude de la végétation dans les régions considérées
- établissement des plantes indicatrices prévue par le système américain, sur le territoire français.
- vérification de la zone la plus froide où chaque espèce subsiste sans problèmes.
- vérification et contrepreuve du critère climatologique avec l'espèce indicatrice considérée.
Exemple:
prenons la localité a. Sa moyenne de minimales absolue sur la dernière période climatologique normalisée est -6.7°C donc 8b supérieur.
On a vérifié que sur le le territoire national le plus froid où peut pousser sans problème la plante b a un critère climatologique 8b supérieur.
On a vérifié que la plante b pousse dans la zone a. Alors la zone a est 8b.
Prenons la localité C. Il s'avère que telle région a une moyenne climatologique des minimales absolue de - 6.7 °C donc 8b exactment comme la localité a.
On vérifie que la plante b ne peut pousser sans problèmes dans la localité C. Résultat la localité C n'est pas 8b.
On vérifie que la plante d (plante qui pousse au plus froid dans les territoires de zone climatologique 8a) ne pousse pas dans la localité C. La localité C n'est certainement pas 8b et peut êtrê même pas 8a en dépit de sa moyenne des minimales absolue. On a vérifié que la plante E pousse jusque dans les zone 7b. La plante E pousse bien dans la localité C. La localité C est donc 7b, même si sa valeur climatologique est 9a.
Cela peut paraître extrême, mais en parcourant plusieurs forums, notamment les forums allemand, j'ai remarqué qu'il s'attribuent des zones très élévée sans aucun rapport aux réelles possibilités. Tout cela se joue, on le sait très bien, dans le nombre de jours de glaces, l'humidité, le vent, la période de l'année où le froid sévit, l'humidité du sol, etc....... Il y a des Iles allemandes qui sont 9a d'un point de vue climatologique, mais qui offrent moins de possibilités d'une zone climatologique 7b supérieure italienne.
Un palmophile de palerme se classifie 9b même si clmatologiquement il est en 10 b.
Ou bien on peut utiliser les plantes indicatrice déjà établie pour le système USDA.
Conclusion: Le système USDA n'est pas conçu pour être utilisé uniquement d'un poin de vue climatologique. Il ne fonctionne que s'il est couplé par la vérification des plantes indicatrices, qui sont établie aprés un travail minutieux sur tout le territoire de la région considérée.
De toute façon, vu que ce qui nous intéresse ce sont les valeurs extrêmes, que soit l'intensité, la fréquence et la durée des températures, il serait plus utile d'étudier son propre climat et d'identifier les types de vagues de froid ou de conditions climatiques critiques et de vérifier pour chaque type, la fréquence moyenne sur une période données (p. ex. 10, 20, 30, 40, 50 ans).
Sur cette base, par exemple, on peut faire les choix, en pensant avant tout au scénario sans protection passive ni active et en fonction de la grandeur de la plante que l'on veut introduire, en deuxième lieux aux possibilités d'éventuelles corrections avec des protections passives ou actives.

Je trouve ta démarche de prudence intéressante. Le fait d'avoir un choix plus réduit a l'avantage d'avoir moins d'échecs.
Et puis on peut toujours faire des essais hardi, mais l'important c'est d'en être conscient. La déception sera moins grande.
Quant aux Trachy, je pense que ta région peut être classifiée zone Trachy, même si, comme tu le dis, il pourrait parfois y avoir des problèmes. Mais il me semble que ces cas soient rares et que d'une vague à l'autre les palmiers peuvent se reconstituer.
Si tu permet juste une petite précision concernant les zones USDA. Le fait d'être en 8b ne signifie pas prendre régulièrement entre -6,7°C et - 9.4°C. Cela signifique que la moyenne des températures minimales absolues sur 30 ans donne une valeur comprise entre -6.7 et - 9.4°C Autrement dit, il y a plusieurs zones 8b, d'un point de vue purement climatologique. Il y a le 8b inférieur moyen et supérieur.
Quelle est la différence entre 8b supérieur et 9a inférieur? Quelles conséquence peut-on en tirer pratiquement? D'un point de vue climatologique, aucune conséquence pratique. Mais d'un point de vue des plantes indicatrice prévue par le système la différence n'est pas petite.
Comme je l'ai déjà souvent rappelé, le système USDA est conçu et ne peut fonctionner qu'en combinaison avec les plantes indicatrices prévue par le système lui même. Pour tenir compte éventuellement de la différence de latitude des zone 8 à 11 présentes aux Etats-Unis, il serait possible de faire la même démarche qui avait été faite aux Etats Unis lors de la création du système USDA c'est à dire:
- attribution du critère climatologique USDA à chaque région
- étude de la végétation dans les régions considérées
- établissement des plantes indicatrices prévue par le système américain, sur le territoire français.
- vérification de la zone la plus froide où chaque espèce subsiste sans problèmes.
- vérification et contrepreuve du critère climatologique avec l'espèce indicatrice considérée.
Exemple:
prenons la localité a. Sa moyenne de minimales absolue sur la dernière période climatologique normalisée est -6.7°C donc 8b supérieur.
On a vérifié que sur le le territoire national le plus froid où peut pousser sans problème la plante b a un critère climatologique 8b supérieur.
On a vérifié que la plante b pousse dans la zone a. Alors la zone a est 8b.
Prenons la localité C. Il s'avère que telle région a une moyenne climatologique des minimales absolue de - 6.7 °C donc 8b exactment comme la localité a.
On vérifie que la plante b ne peut pousser sans problèmes dans la localité C. Résultat la localité C n'est pas 8b.
On vérifie que la plante d (plante qui pousse au plus froid dans les territoires de zone climatologique 8a) ne pousse pas dans la localité C. La localité C n'est certainement pas 8b et peut êtrê même pas 8a en dépit de sa moyenne des minimales absolue. On a vérifié que la plante E pousse jusque dans les zone 7b. La plante E pousse bien dans la localité C. La localité C est donc 7b, même si sa valeur climatologique est 9a.
Cela peut paraître extrême, mais en parcourant plusieurs forums, notamment les forums allemand, j'ai remarqué qu'il s'attribuent des zones très élévée sans aucun rapport aux réelles possibilités. Tout cela se joue, on le sait très bien, dans le nombre de jours de glaces, l'humidité, le vent, la période de l'année où le froid sévit, l'humidité du sol, etc....... Il y a des Iles allemandes qui sont 9a d'un point de vue climatologique, mais qui offrent moins de possibilités d'une zone climatologique 7b supérieure italienne.
Un palmophile de palerme se classifie 9b même si clmatologiquement il est en 10 b.
Ou bien on peut utiliser les plantes indicatrice déjà établie pour le système USDA.
Conclusion: Le système USDA n'est pas conçu pour être utilisé uniquement d'un poin de vue climatologique. Il ne fonctionne que s'il est couplé par la vérification des plantes indicatrices, qui sont établie aprés un travail minutieux sur tout le territoire de la région considérée.
De toute façon, vu que ce qui nous intéresse ce sont les valeurs extrêmes, que soit l'intensité, la fréquence et la durée des températures, il serait plus utile d'étudier son propre climat et d'identifier les types de vagues de froid ou de conditions climatiques critiques et de vérifier pour chaque type, la fréquence moyenne sur une période données (p. ex. 10, 20, 30, 40, 50 ans).
Sur cette base, par exemple, on peut faire les choix, en pensant avant tout au scénario sans protection passive ni active et en fonction de la grandeur de la plante que l'on veut introduire, en deuxième lieux aux possibilités d'éventuelles corrections avec des protections passives ou actives.