LE FORUM DES FOUS DE PALMIERS

Il faudrait peut-être leur demander,c'est important comme sujet et surement intéressant pour eux

palmactus a écrit :A l' école des plantes 59270 BAILLEUL , on dispense des cours en phytologie et phytothérapie, les étudiants ainsi que leurs profs pourraient être ravis et motivés par ce programme ?
La réputation de cette école est solide, celà peut-être une piste pour avancer ?

Heu, la phytothérapie c'est pour les humains... ce n'est pas soigner les plantes, mais se soigner avec les plantes.

j'ai la croyance qu'il doit exister un produit simple, innofensif et bon marché pour lutter contre paysandisia , seulement nous ne le savons pas encore, peut-être même que la solution est tout près de nous ? je reste optimiste. je cherche.

Serkan a écrit :j'ai la croyance qu'il doit exister un produit simple, innofensif et bon marché pour lutter contre paysandisia , seulement nous ne le savons pas encore, peut-être même que la solution est tout près de nous ? je reste optimiste. je cherche.

Je suis comme toi Serkan je pense sincèrement que la solution est sous notre nez mais nous ne la voyons pas Les experts de ce papillon et de son comportements peuvent j'en suis persuadé nous aider,ils sont habitué à les voir évoluer et pondre connaissent leurs habitudes,je suis sur qu'on peut trouver une parade simple et facile à mettre en place sans avoir à employer tous ces produits qui font marcher les labos,dans ton entourage Serkan n'est-il pas possible de se rapprocher d'un de ses savants Au moment de la ponte on sait que c'est l'odeur des palmes fraîchement coupées qui peut les attirer en autre,si on ne coupe plus ,limite-t-on le problème Les oiseaux comme les mésanges bleues peuvent nous aider en installant des nichoirs pour qu'ils soient sur place,ou viennent dans nos jardins.Les larves sont-elles toujours pondue au même endroit de la même façon,et où précisément Il doit bien être possible de mettre en place un piège,du genre poche ,sans produit qu'on accrocherait en dessous des lances,voir au-dessus

Pour ber,
Heu , merci pour cette " reprise ", désolé , mais vous ne m' avez rien appris. Je n' ai fait que signaler cette option pour appuyer les diverses compétences et le sérieux de cette école, et enfin , pour tenter d' avancer sur le sujet qui nous préoccupe.
Cdlt.

Non monsieur! candidat suivant, Simone

Il s' agit de larves et non de vers de chez Papy mougeau...
Je laisse le choix de l' hortographe du Papy ainsi que du schimili ect...

L'idée du paillis de chanvre sur la partie haute du stipe mérite d'être creusée. Il faudrait trouver un système pour maintenir un volume suffisant de paillis. Vous avez déjà certainement vu les collerettes que porte les animaux domestiques sortants du veto. Je pense à un support en forme d'entonnoir qui serait fixer à 30cm en-dessous des premières palmes et rempli jusqu'à environ 20cm au dessus du départ de la lance. Il faudrait que cette collerette soit en grillage ou plastique perforé pour ne pas retenir l'eau. La forme évasée vers le haut ne serait pas trop choquante esthétiquement puisqu'elle suit plus ou moins l'orientation des palmes. Le remplissage pourrait se faire avec divers paillis, des copeaux de résineux riche en tanin pour augmenter l'effet répulsif et peut-être encore mieux: avec du minéral léger comme bille d'argile ou pouzzolane. Cette barrière physique a de fortes chances d'être infranchissable tant elle est différente de ce que le papillon recherche habituellement à savoir un tissu fibreux vivant confortable pour l'éclosion des œufs. Et si cela ne marche pas dans un sens je pense qu'au moment de la mue adulte le papillon va se trouver prisonnier à la sortie empêtré dans le paillis.
Il serait peut-être possible d'installer cette barrière physique à demeure en l'adaptant de temps en temps à la croissance du palmier. Elle servirait aussi l'hiver d'isolant pour le cœur. Quels risques pour le palmier ? De la pourriture si le paillis retient trop l'humidité. C'est pour cela que le minéral est préférable. La base des pétioles blanchies comme des andives, plus fragiles ?
Voilà pour la théorie, le plus difficile, la mise en œuvre.

palmactus a écrit :Pour ber,
Heu , merci pour cette " reprise ", désolé , mais vous ne m' avez rien appris. Je n' ai fait que signaler cette option pour appuyer les diverses compétences et le sérieux de cette école, et enfin , pour tenter d' avancer sur le sujet qui nous préoccupe.
Cdlt.

Excuse-moi, ma remarque n'était pas pour te contrarier...

felix a écrit :L'idée du paillis de chanvre sur la partie haute du stipe mérite d'être creusée. Il faudrait trouver un système pour maintenir un volume suffisant de paillis. Vous avez déjà certainement vu les collerettes que porte les animaux domestiques sortants du veto. Je pense à un support en forme d'entonnoir qui serait fixer à 30cm en-dessous des premières palmes et rempli jusqu'à environ 20cm au dessus du départ de la lance. Il faudrait que cette collerette soit en grillage ou plastique perforé pour ne pas retenir l'eau. La forme évasée vers le haut ne serait pas trop choquante esthétiquement puisqu'elle suit plus ou moins l'orientation des palmes. Le remplissage pourrait se faire avec divers paillis, des copeaux de résineux riche en tanin pour augmenter l'effet répulsif et peut-être encore mieux: avec du minéral léger comme bille d'argile ou pouzzolane. Cette barrière physique a de fortes chances d'être infranchissable tant elle est différente de ce que le papillon recherche habituellement à savoir un tissu fibreux vivant confortable pour l'éclosion des œufs. Et si cela ne marche pas dans un sens je pense qu'au moment de la mue adulte le papillon va se trouver prisonnier à la sortie empêtré dans le paillis.
Il serait peut-être possible d'installer cette barrière physique à demeure en l'adaptant de temps en temps à la croissance du palmier. Elle servirait aussi l'hiver d'isolant pour le cœur. Quels risques pour le palmier ? De la pourriture si le paillis retient trop l'humidité. C'est pour cela que le minéral est préférable. La base des pétioles blanchies comme des andives, plus fragiles ?
Voilà pour la théorie, le plus difficile, la mise en œuvre.

Bonjour Félix c'est très intéressant ce que tu exposes,l'idée semble séduisante,faudrait faire des essais.Lorsque les lances vont s'ouvrirent le poids du minéral ne va-t-il pas étouffer et empêcher ces dernières de s'ouvrir,les Endives ou les asperges poussent sous terre ,les palmes elles poussent au-dessus de la terre ?? Du coup c'est vrai que ce type de protection pourrait aussi protéger l'hiver.

Je pensais y avoir échapper jusqu'à maintenant mais je viens de découvrir de la sciure et une palme trouée sur trachycarpus dans le jardin , il est bien passé par là

En plus je ne serais pas trop là cette été, je cherche un guetteur de papillon ca interesse

C'est vraiment une plaie ce papillon

Bonjour N'étant pas (encore) concerné je ne suis pas ce fil de bout en bout.

Y'a-t-il eu des tests de fait avec des produits simples comme le purin d'ortie qui fait fuir les pucerons ?

A mon sens le plus efficace serait un produit circulant dans la sève et rendant celle-ci soit repoussante pour les parasites soit encore mieux toxique pour eux.
Tout en étant non polluante...

Ma question est sans doute bête mais le pire serait de ne pas la poser

Merci.

Question idiote très certainement : la piste de la perturbation chimique par le biais d'autres végétaux a-t-elle été tentée ?

Dans un jardin planté essentiellement de palmiers, je conçois que cette bestiole soit attirée inexorablement pour se reproduire mais qu'en est-il dans un jardin regroupant une multitude de végétaux odorants.

fascicularia a écrit :
Dans un jardin planté essentiellement de palmiers, je conçois que cette bestiole soit attirée inexorablement pour se reproduire mais qu'en est-il dans un jardin regroupant une multitude de végétaux odorants.

Dans un jardin comme le mien donc!...ben kif kif bourricot! idem la même chose ...une autre idée? au suivant...Malaga peut être?