Culture du Phoenix roebelenii
Posté : 07 sept. 2013 18:26
Ce palmier, généralement d'appartement (vu sa très faible résistance au gel), est une espèce tropicale qui dans son lieu d'origine vit sur les bords des cours d'eau, mais cela ne fait pas de lui un nénuphar.
S'il apprécie des arrosages copieux durant l'été, son substrat ne doit pas être une éponge. Il doit être drainant (p.ex., terreau + sable 4 mm + terre de jardin) et les trous sous le pot (comme pour la majorité des palmiers) doivent être assez gros pour que l'eau puisse s'évacuer. Il faut éviter les cache-pots (manque d'aération des racines) et vider la coupelle s'il n'a pas bu 3 heures après l'arrosage.
Il aime forcément le chaud, mais une atmosphère trop sèche comme celle de nombreux logements durant la mauvaise saison ne lui convient pas vraiment et il est préférable de le placer dans une pièce moins chauffée, mais cependant toujours bien éclairée (proximité d'une fenêtre) ou alors de mettre un humidificateur. En effet, ce palmier, comme toutes les plantes, n'est pas une potiche que l'on peut fourrer et oublier dans un coin obscure d'une pièce.
Durant la mauvaise saison (moins de lumière), il ralentit son métabolisme et les arrosages doivent être diminués en conséquence.
Le plus simple pour apprendre à connaître son rythme et d'enfoncer une fine baguette en bois jusqu'au fond du pot. Si c'est encore bien humide au fond, il faut attendre pour arroser.
Avec le temps, un palmier sain abaisse ses palmes quand il a soif et les relève après l'arrosage, mais un palmier aux racines malades en raison d'un constant excès d'eau peut aussi avoir les palmes qui s'affaissent, d'où la nécessité du contrôle de l'humidité résiduelle au fond du pot et pas juste à 1-2 cm de la surface du substrat comme on l'entend ou le lit souvent.
Si ce palmier a l'air frêle par rapport à ses cousins canariensis ou dactylifera, il développe des racines massives et il ne faut pas négliger de le rempoter lorsqu'il commence a faire la ballerine et à s'élever dans son pot, avec la mise à nu des racines superficielles.
Avec l'arrivée du printemps et des températures nocturnes constamment au-dessus de 5 degrés, il peut être sorti dehors et progressivement habitué au plein soleil de la matinée.
C'est donc un palmier très élégant qui peut être conservé longtemps en appartement, pour autant qu'on respecte ses besoins.
Il s'agit de mon expérience personnelle et bien entendu, tous les avis - même contradictoires - sont les bienvenus s'ils peuvent permettre d'éviter que trop de roebelenii tombent malades et gâchent le plaisir de leur propriétaire à leurs cotés.
S'il apprécie des arrosages copieux durant l'été, son substrat ne doit pas être une éponge. Il doit être drainant (p.ex., terreau + sable 4 mm + terre de jardin) et les trous sous le pot (comme pour la majorité des palmiers) doivent être assez gros pour que l'eau puisse s'évacuer. Il faut éviter les cache-pots (manque d'aération des racines) et vider la coupelle s'il n'a pas bu 3 heures après l'arrosage.
Il aime forcément le chaud, mais une atmosphère trop sèche comme celle de nombreux logements durant la mauvaise saison ne lui convient pas vraiment et il est préférable de le placer dans une pièce moins chauffée, mais cependant toujours bien éclairée (proximité d'une fenêtre) ou alors de mettre un humidificateur. En effet, ce palmier, comme toutes les plantes, n'est pas une potiche que l'on peut fourrer et oublier dans un coin obscure d'une pièce.
Durant la mauvaise saison (moins de lumière), il ralentit son métabolisme et les arrosages doivent être diminués en conséquence.
Le plus simple pour apprendre à connaître son rythme et d'enfoncer une fine baguette en bois jusqu'au fond du pot. Si c'est encore bien humide au fond, il faut attendre pour arroser.
Avec le temps, un palmier sain abaisse ses palmes quand il a soif et les relève après l'arrosage, mais un palmier aux racines malades en raison d'un constant excès d'eau peut aussi avoir les palmes qui s'affaissent, d'où la nécessité du contrôle de l'humidité résiduelle au fond du pot et pas juste à 1-2 cm de la surface du substrat comme on l'entend ou le lit souvent.
Si ce palmier a l'air frêle par rapport à ses cousins canariensis ou dactylifera, il développe des racines massives et il ne faut pas négliger de le rempoter lorsqu'il commence a faire la ballerine et à s'élever dans son pot, avec la mise à nu des racines superficielles.
Avec l'arrivée du printemps et des températures nocturnes constamment au-dessus de 5 degrés, il peut être sorti dehors et progressivement habitué au plein soleil de la matinée.
C'est donc un palmier très élégant qui peut être conservé longtemps en appartement, pour autant qu'on respecte ses besoins.
Il s'agit de mon expérience personnelle et bien entendu, tous les avis - même contradictoires - sont les bienvenus s'ils peuvent permettre d'éviter que trop de roebelenii tombent malades et gâchent le plaisir de leur propriétaire à leurs cotés.
