** PALMIMANIA ** 27/11/06
Posté : 28 nov. 2006 09:59
C'est avec un réel plaisir que je réponds favorablement à l'initiative de Manu et Anthony. Bonne idée que de nous faire découvrir, toutes les semaines, un site consacré aux palmiers, notre passion commune. Aussi, je me réjouis d'inaugurer cette longue série en vous présentant « Palmimania ».
Palmimania est né en mars 2004. Bien que n'étant pas un expert ni en informatique, ni dans le domaine des palmiers, j'ai voulu créer ce site pour diffuser à une grande échelle, ma passion récente pour les palmiers et inciter un maximum de personnes à en faire autant, où qu'elles soient.
Mon coup de foudre pour les palmiers, s'est produit a l'été 2002, lorsque j'ai emménagé dans la maison que je venais d'acquérir dans le Périgord afin d'y couler une retraite paisible. Sur mon terrain se trouvait un petit palmier (un Trachycarpus fortunei que j'ai identifié plus tard) qui a, immédiatement, attiré mon regard. Pour moi, homme de l'est de la France, j'étais véritablement transporté sous les tropiques ! De plus, sa beauté était irrésistible. C'était sûr, ce Trachycarpus était le premier palmier d'une collection à venir.
Après plus de 35 années de vie professionnelle qui m'ont conduit plutôt au nord de la Loire : région parisienne, Alsace, Bourgogne, Lyonnais, j'avais trouvé le paradis, le Périgord, la terre où poussent les palmiers !
Et des palmiers, j'ai voulu en faire pousser. A grand renfort de documentation ( livres, internet ), j'ai recherché la meilleure façon de faire germer des graines de palmiers. Et à ce titre, le site de Jean-Pierre Pinguet a été l'élément déclencheur. Tout y était si bien expliqué et de plus, Jean-Pierre venait, tout juste, de lancer sa banque gratuite de graines. Et c'est ainsi que j'ai reçu mes premières graines que je me suis empressé de faire germer. Bon nombre d'entre elles ont germé, et ont trouvé place dans mon jardin perpétuant le souvenir de Jean-Pierre Pinguet.
Pris dans cette euphorie du début, j'achetais des graines de palmiers aux quatre coins du monde et notais consciencieusement les durées nécessaires à la germination, quand elle avait lieu et portais toutes ces informations relatives au prix des graines et au délai de germination, à la disposition du lecteur sur mon site. Au bout de 2 ans, à l'examen plutôt catastrophique des résultats de germination, je décidais, sauf exception (palmier rare), de mettre un terme à mes expériences de germination, coûteuses et toujours très aléatoires. Je me suis dit qu'il valait mieux investir dans l'achat de sujets âgés de plusieurs années. Depuis cette décision, les rubriques « germinations » et « tableau comparatif des prix de graines » de mon site ne sont plus alimentées.
Depuis 2004, de nombreux palmiers ont investi mon jardin. Aux Trachycarpus, Chamaerops, Washingtonia, Brahea armata, Sabal minor, Sabal palmetto déjà présents, sont venus s'ajouter : Jubaea chilensis, Butia capitata, Butia yatay, divers Sabal (bermudana, domingensis, causiarum, riverside, divers Livistona (australis, decipiens, chinensis) et divers Phoenix (canariensis, dactylifera). Malheureusement, sur le plan climatique, il a fallu vite déchanter. Mon paradis n'avait rien de tropical ! Pire, j'habitais la région de plaine, la plus froide du Sud-Ouest, si l'on se réfère aux relevés de la station Météo France de Brive, distante de 20 km. Voilà 2 hivers consécutifs que j'enregistre des dégats importants dans ma population de palmiers. Les défoliations de Phoenix, Brahea armata, Livistona et Washingtonia sont habituelles, en revanche, j'ai perdu, au cours du dernier hiver, un Butia capitata (stipe 40 cm), un Trithrinax acanthocoma, un Trithrinax brasiliensis, un Sabal uresana, un Brahea edulis et un Nannorrhops ritchieana. Il est vrai que je n'étais pas, jusque là , un fanatique de la protection. Le bilan de l'hiver 2005/2006 m'a fait changer de comportement : pour l'hiver qui s'annonce, les protections sont quasiment déjà en place. L'objectif de ces protections sera plus de contrecarrer les effets néfastes de l'humidité hivernale que d'apporter une réelle protection contre le froid.
En examinant mes pages, je considère que mon site internet ne reflète pas assez bien l'évolution des plantations de mon jardin ainsi que les aménagements qui ont été apportés deux années de suite, pour améliorer l'ensoleillement du jardin. De plus, l'insertion des photos montrant la croissance, année après année, de mes palmiers, a pris du retard. J'ai jugé, en effet, que l'architecture du site n'était pas très satisfaisante. Aussi, je travaille depuis plusieurs semaines à l'élaboration d'un site « relooké » qui devrait voir le jour au printemps. Dans cette perspective, toutes les suggestions seront les bienvenues. D'ores et déjà , j'ai décidé que la part accordée aux photos de mon jardin sera beaucoup plus importante.
Si ces quelques lignes vous ont donné l'envie de visiter « Palmimania », je vous donne rendez-vous à l'adresse suivante : http://tournie2.perso.cegetel.net .
A bientôt sur « Palmimania » et à votre entière disposition pour toute question complémentaire.
Michel
Palmimania est né en mars 2004. Bien que n'étant pas un expert ni en informatique, ni dans le domaine des palmiers, j'ai voulu créer ce site pour diffuser à une grande échelle, ma passion récente pour les palmiers et inciter un maximum de personnes à en faire autant, où qu'elles soient.
Mon coup de foudre pour les palmiers, s'est produit a l'été 2002, lorsque j'ai emménagé dans la maison que je venais d'acquérir dans le Périgord afin d'y couler une retraite paisible. Sur mon terrain se trouvait un petit palmier (un Trachycarpus fortunei que j'ai identifié plus tard) qui a, immédiatement, attiré mon regard. Pour moi, homme de l'est de la France, j'étais véritablement transporté sous les tropiques ! De plus, sa beauté était irrésistible. C'était sûr, ce Trachycarpus était le premier palmier d'une collection à venir.
Après plus de 35 années de vie professionnelle qui m'ont conduit plutôt au nord de la Loire : région parisienne, Alsace, Bourgogne, Lyonnais, j'avais trouvé le paradis, le Périgord, la terre où poussent les palmiers !
Et des palmiers, j'ai voulu en faire pousser. A grand renfort de documentation ( livres, internet ), j'ai recherché la meilleure façon de faire germer des graines de palmiers. Et à ce titre, le site de Jean-Pierre Pinguet a été l'élément déclencheur. Tout y était si bien expliqué et de plus, Jean-Pierre venait, tout juste, de lancer sa banque gratuite de graines. Et c'est ainsi que j'ai reçu mes premières graines que je me suis empressé de faire germer. Bon nombre d'entre elles ont germé, et ont trouvé place dans mon jardin perpétuant le souvenir de Jean-Pierre Pinguet.
Pris dans cette euphorie du début, j'achetais des graines de palmiers aux quatre coins du monde et notais consciencieusement les durées nécessaires à la germination, quand elle avait lieu et portais toutes ces informations relatives au prix des graines et au délai de germination, à la disposition du lecteur sur mon site. Au bout de 2 ans, à l'examen plutôt catastrophique des résultats de germination, je décidais, sauf exception (palmier rare), de mettre un terme à mes expériences de germination, coûteuses et toujours très aléatoires. Je me suis dit qu'il valait mieux investir dans l'achat de sujets âgés de plusieurs années. Depuis cette décision, les rubriques « germinations » et « tableau comparatif des prix de graines » de mon site ne sont plus alimentées.
Depuis 2004, de nombreux palmiers ont investi mon jardin. Aux Trachycarpus, Chamaerops, Washingtonia, Brahea armata, Sabal minor, Sabal palmetto déjà présents, sont venus s'ajouter : Jubaea chilensis, Butia capitata, Butia yatay, divers Sabal (bermudana, domingensis, causiarum, riverside, divers Livistona (australis, decipiens, chinensis) et divers Phoenix (canariensis, dactylifera). Malheureusement, sur le plan climatique, il a fallu vite déchanter. Mon paradis n'avait rien de tropical ! Pire, j'habitais la région de plaine, la plus froide du Sud-Ouest, si l'on se réfère aux relevés de la station Météo France de Brive, distante de 20 km. Voilà 2 hivers consécutifs que j'enregistre des dégats importants dans ma population de palmiers. Les défoliations de Phoenix, Brahea armata, Livistona et Washingtonia sont habituelles, en revanche, j'ai perdu, au cours du dernier hiver, un Butia capitata (stipe 40 cm), un Trithrinax acanthocoma, un Trithrinax brasiliensis, un Sabal uresana, un Brahea edulis et un Nannorrhops ritchieana. Il est vrai que je n'étais pas, jusque là , un fanatique de la protection. Le bilan de l'hiver 2005/2006 m'a fait changer de comportement : pour l'hiver qui s'annonce, les protections sont quasiment déjà en place. L'objectif de ces protections sera plus de contrecarrer les effets néfastes de l'humidité hivernale que d'apporter une réelle protection contre le froid.
En examinant mes pages, je considère que mon site internet ne reflète pas assez bien l'évolution des plantations de mon jardin ainsi que les aménagements qui ont été apportés deux années de suite, pour améliorer l'ensoleillement du jardin. De plus, l'insertion des photos montrant la croissance, année après année, de mes palmiers, a pris du retard. J'ai jugé, en effet, que l'architecture du site n'était pas très satisfaisante. Aussi, je travaille depuis plusieurs semaines à l'élaboration d'un site « relooké » qui devrait voir le jour au printemps. Dans cette perspective, toutes les suggestions seront les bienvenues. D'ores et déjà , j'ai décidé que la part accordée aux photos de mon jardin sera beaucoup plus importante.
Si ces quelques lignes vous ont donné l'envie de visiter « Palmimania », je vous donne rendez-vous à l'adresse suivante : http://tournie2.perso.cegetel.net .
A bientôt sur « Palmimania » et à votre entière disposition pour toute question complémentaire.
Michel