Les palmiers n'ont plus la cote à MIAMI
Posté : 01 mars 2021 12:08
Un article intéressant du Miami Herald paru le 25 février 2021 décrit les conséquences du changement climatique sur la présence des palmiers à Miami.
En résumé, pour s’adapter à la hausse des températures, les autorités locales ont décidé de réduire de 25% la concentration des palmiers à l’horizon 2050, pour les remplacer par des espèces d’arbres plus adaptés au nouveau climat.
L’objectif est double, amélioration de la qualité de l’air car les nouvelles plantations absorberont plus de carbone et retiendront mieux l’eau de pluie, et amélioration de la qualité de vie des habitants en créant des zones d’ombre qui abaisseront ainsi la chaleur ressentie. https://www.miamiherald.com/news/local/ ... 32995.html.
Je ne m’attarderai pas sur la politique de la ville sur les projets de construction mais je retiens surtout l’élimination de nombreux palmiers qui seront remplacés, selon l’article, par des arbres comme le delonix regia ou bursera simaruba.
Entre la VDF au Texas et la chaleur en Floride, encore une bonne raison de cultiver les palmiers dans nos zones tempérés.
En résumé, pour s’adapter à la hausse des températures, les autorités locales ont décidé de réduire de 25% la concentration des palmiers à l’horizon 2050, pour les remplacer par des espèces d’arbres plus adaptés au nouveau climat.
L’objectif est double, amélioration de la qualité de l’air car les nouvelles plantations absorberont plus de carbone et retiendront mieux l’eau de pluie, et amélioration de la qualité de vie des habitants en créant des zones d’ombre qui abaisseront ainsi la chaleur ressentie. https://www.miamiherald.com/news/local/ ... 32995.html.
Je ne m’attarderai pas sur la politique de la ville sur les projets de construction mais je retiens surtout l’élimination de nombreux palmiers qui seront remplacés, selon l’article, par des arbres comme le delonix regia ou bursera simaruba.
Entre la VDF au Texas et la chaleur en Floride, encore une bonne raison de cultiver les palmiers dans nos zones tempérés.