Eh bien, Iparla tu a fait avancer la connaissance historique avec cette recherche pertinente. Il y a une mine d'informations là dedans!
Je me suis trouvé des points communs avec lui, acclimateur d'exotiques et passionnée de haute montagne, sauf que moi j'ai enchaîné les passions dans l'autre sens semble t-il.
Eric, le Cocos australis, c'est le Syagrus romanzoffiana, qui est dit plus rustique que le Phoenix canariensis. Un litoralis ou un santa catharina a t-il été testé? A moins qu'il y ait confusion avec autre chose, mais je ne crois pas. Après il fait bien la distinction d'avec Cocos campestris qui est le Butia capitata.
Voici un passage du texte:
"JUBJEA
J. spectabilis.
Essayé de 1886 à 1902.
Magnifique Palmier, caulescent, à feuilles en forme de palmes. Il doit
être recommandé d'autant plus vivement que c'est le seul de cette forme
qui soit complètement rustique. Feuilles recourbées gracieusement, vert
clair, luisantes. Toujours vert.
Rà‰SISTANCE complète sans abri.
Culture. â€â€ Semble parfois souffrir de la sécheresse, surtout quand
il est très jeune. La croissance est lente dans le jeune âge, mais devient
rapide plus tard.
Multiplication difficile, par semis. Les graines sont grosses comme
des noix et germent difficilement. On a quelque peine à se procurer, en
jeunes exemplaires, cette espèce encore très peu répandue.
GOGOS
G. australis.
Essayé de 1889 à 1902.
Joli Palmier à feuilles glauques, en forme de palmes, d'un port gra-
cieux, dont le pétiole flexueux est recourbé au sommet. Toujours vert.
Rà‰SISTANCE presque complète, même sans abri, quand la plante n'est
pas trop jeune. Les feuilles ne souffrent aucunement des hivers moyens
et même assez rigoureux; dans les hivers très froids, les plus extérieures
sèchent. Cette plante est certainement beaucoup plus résistante que le
Phà…“nix canariensis, qui souvent perd ses feuilles pendant que celles du
Cocos australis restent intactes."
Ce sont tout à fait les mêmes constatations que j'ai faites.