Palmiers en fôret
Posté : 06 mars 2011 20:25
Bonsoir Nico et à tous,
Hier j'ai participé à Locarno à une excursion en fôret, organisée par l'Institut fédéral de recherche sur la fôret la neige et le payage. Le but était d'observer le phénomène de la diffusion de plantes exotiques dans la forêt tessinoise et insubrienne. Le parcours choisi a été celui de Monti della trinità dans la partie haute de Locarno (370 m d'altitude) jusqu'à Solduno (200 m). Les espéces exotiques les plus representée dans ce coin sont le Trachycarpus, les camphriers (certains de 20 m de hauteur) les lauriers sauces et les lauriers cerises. La fôret d'origine est un fôret de tilleuls et autres feuillus à feuilles caduques.
En extrême synthèse les experts ont souligné que cette diffusion qui a commencé depuis quelques décénnies et liée au manque d'entretien de la fôret qui devient pour la première fois un territoire sauvage. Jusque dans les année 50/60 l'entretien était constant et la fôret avait une utilité productive (bois, chataîgnes etc..) L'entretien était même excessif du point de vue de la biodiversité.
Un autre élément important a été l'approche des jardins à la fôret. Certaines plantes ont commencé à se reproduire seule et à fuire des jardins. Les exemples sont nombreux. Mais bien plus dangereuse sont d'autres plantes comme la Pueraria et les Polyogonum. Ces dernières en effet ont un rythme reproductif et de croissance incroyable ce qui leur permet de suffoquer toutes les autres espèces.
Pour ce qui est des palmiers des laurophylles la situation n'est pas alarmantes pour le moment, car elles semblent bien s'intégrer avec les autres espèces. Mais il faudra voir si cette armonie va durer longtemps. Dans la meilleure des hypothèses ces plantes néophytes pourraient augementer la biodiverisité végétales et animale.
Entre autre la question s'est posée d'une possibilité d'explotation lucrative des palmiers, des camphriers et autres.
Les camphriers par exemple fournissent un bois très précieux dans la construction navale.
La stratégie des ingégnieur forestier est de repeupler les fôret de leurs essences d'origines et de laisser coexister les exotiques. Le tout en contrôlant de près l'évolution de la situation.
Un aspect certainement positif des exotique est à voir dans la fonction protective que la fôret a pour contrer les éboulement de terrain. Pour ce qui est des incendie de fôret l'avantage n'est que partiel. Il pourrait réduire le danger d'incendie (la probabilité), mais augmenter le risque (dommages). Chez nous les incendie se développent surtout l'hiver.
Pour terminer quelques photos
http://home-and-garden.webshots.com/pho ... 6876mIidfC
http://home-and-garden.webshots.com/pho ... 6876FZnSlA
http://home-and-garden.webshots.com/pho ... 6876fHcpxg
http://home-and-garden.webshots.com/pho ... 6876MWEzWW
http://home-and-garden.webshots.com/pho ... 6876vcaDJp
Hier j'ai participé à Locarno à une excursion en fôret, organisée par l'Institut fédéral de recherche sur la fôret la neige et le payage. Le but était d'observer le phénomène de la diffusion de plantes exotiques dans la forêt tessinoise et insubrienne. Le parcours choisi a été celui de Monti della trinità dans la partie haute de Locarno (370 m d'altitude) jusqu'à Solduno (200 m). Les espéces exotiques les plus representée dans ce coin sont le Trachycarpus, les camphriers (certains de 20 m de hauteur) les lauriers sauces et les lauriers cerises. La fôret d'origine est un fôret de tilleuls et autres feuillus à feuilles caduques.
En extrême synthèse les experts ont souligné que cette diffusion qui a commencé depuis quelques décénnies et liée au manque d'entretien de la fôret qui devient pour la première fois un territoire sauvage. Jusque dans les année 50/60 l'entretien était constant et la fôret avait une utilité productive (bois, chataîgnes etc..) L'entretien était même excessif du point de vue de la biodiversité.
Un autre élément important a été l'approche des jardins à la fôret. Certaines plantes ont commencé à se reproduire seule et à fuire des jardins. Les exemples sont nombreux. Mais bien plus dangereuse sont d'autres plantes comme la Pueraria et les Polyogonum. Ces dernières en effet ont un rythme reproductif et de croissance incroyable ce qui leur permet de suffoquer toutes les autres espèces.
Pour ce qui est des palmiers des laurophylles la situation n'est pas alarmantes pour le moment, car elles semblent bien s'intégrer avec les autres espèces. Mais il faudra voir si cette armonie va durer longtemps. Dans la meilleure des hypothèses ces plantes néophytes pourraient augementer la biodiverisité végétales et animale.
Entre autre la question s'est posée d'une possibilité d'explotation lucrative des palmiers, des camphriers et autres.
Les camphriers par exemple fournissent un bois très précieux dans la construction navale.
La stratégie des ingégnieur forestier est de repeupler les fôret de leurs essences d'origines et de laisser coexister les exotiques. Le tout en contrôlant de près l'évolution de la situation.
Un aspect certainement positif des exotique est à voir dans la fonction protective que la fôret a pour contrer les éboulement de terrain. Pour ce qui est des incendie de fôret l'avantage n'est que partiel. Il pourrait réduire le danger d'incendie (la probabilité), mais augmenter le risque (dommages). Chez nous les incendie se développent surtout l'hiver.
Pour terminer quelques photos
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