Si vous envisager la solution de la protection alsacienne, voire canadienne

, il faut souligner que cela exige des moyens matériels (construction de hautes "cabanes", très bien isolées et chauffées) et un savoir-faire de bricoleur.
Toutefois, comme on vous l'a déjà fait remarquer et le confirme toute la littérature sur les phoenix canariensis et dactylifera, il y a une limite de rusticité infranchissable sans protection qui sera évidente, lorsque vous ne pourrez plus protéger votre phoenix en hauteur.
Pensez alors à tous ces efforts et investissements pendant quelques années, pour le voir cramer par la suite.
Gardez-en en pots, transportables avec un diable, et vendez-les lorsqu'ils deviennent vraiment trop encombrants pour être déplacés et rentrés à l'intérieur.