Romneya coulteri
Romneya coulteri
ce matin j'ai fait quelques photos de la floraison du Romneya coulteri, le pavot de Californie. Planté il y a deux ans il a poussé comme un fou et ce malgré les deux hivers très humides et des printemps pas vraiment secs. Les fleurs font de 12 à 14 cm de diamètre.
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Domi
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Re: Romneya coulteri
Le mien a fini par disparaitre au bout de quelques années...
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serge17
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Re: Romneya coulteri
Je me permets de relancer ce topic, trouvant peu de témoignage sur cette superbe Vivace Californienne.
Cette plante réputée difficile et effectivement capricieuse mais surtout en ce qui concerne sa multiplication. Pour la cultiver ; en fait il lui faut impérativement un terrain bien drainant, de la chaleur et du soleil à outrance avec un bon arrosage afin de prolonger sa magnifique floraison, surtout Pas d'engrais ni de composte.
Dans la plupart de nos régions douce ou très tempérées, il n'est pas nécessaire de mettre une protection, il me semble que cette plante doit pouvoir résister exceptionnellement à -12° -15° mais dans ce cas rabattue jusqu'au sol ; dans les autres régions, le bois bien aouté résiste à -7°- 8° il suffira alors de les rabattre d'un bon quart afin d'avoir une floraison plus précoce et plus abondante.
Dans ma terre crayeuse, le Romneya à tendance à la chlorose que je combat avec du chélate de fer mais dans une terre argilo-calcaire ou proche de la neutralité, ceci reste inutile.
Une fois bien implanté, cette plante semble indestructible et très envahissante : chez moi les rejets sont nombreux et parfois très loin de la plante mère.
Là ou ça ce complique C pour la multiplier? En général je réussie si je prends des rejets petits et issus de racines traçantes ; dans le cas de rejets plus importants, il me faudra creuser profondément afin d'avoir une racine pourvu de petites radicelles grosses comme des filaments pour avoir toutes les chances de réussite. Ma plante ayant été acheté chez Dino Pellizzaro dans les années 90 s issue d'un semis ,c'est un mode de multiplication qui me manque ; n'ayant ni la place, ni le matériel ad hoc pour ce genre de multiplication, je ne suis pas en mesure de vous en parler; mais j'attend vos témoignages, et réactions.
Cette plante réputée difficile et effectivement capricieuse mais surtout en ce qui concerne sa multiplication. Pour la cultiver ; en fait il lui faut impérativement un terrain bien drainant, de la chaleur et du soleil à outrance avec un bon arrosage afin de prolonger sa magnifique floraison, surtout Pas d'engrais ni de composte.
Dans la plupart de nos régions douce ou très tempérées, il n'est pas nécessaire de mettre une protection, il me semble que cette plante doit pouvoir résister exceptionnellement à -12° -15° mais dans ce cas rabattue jusqu'au sol ; dans les autres régions, le bois bien aouté résiste à -7°- 8° il suffira alors de les rabattre d'un bon quart afin d'avoir une floraison plus précoce et plus abondante.
Dans ma terre crayeuse, le Romneya à tendance à la chlorose que je combat avec du chélate de fer mais dans une terre argilo-calcaire ou proche de la neutralité, ceci reste inutile.
Une fois bien implanté, cette plante semble indestructible et très envahissante : chez moi les rejets sont nombreux et parfois très loin de la plante mère.
Là ou ça ce complique C pour la multiplier? En général je réussie si je prends des rejets petits et issus de racines traçantes ; dans le cas de rejets plus importants, il me faudra creuser profondément afin d'avoir une racine pourvu de petites radicelles grosses comme des filaments pour avoir toutes les chances de réussite. Ma plante ayant été acheté chez Dino Pellizzaro dans les années 90 s issue d'un semis ,c'est un mode de multiplication qui me manque ; n'ayant ni la place, ni le matériel ad hoc pour ce genre de multiplication, je ne suis pas en mesure de vous en parler; mais j'attend vos témoignages, et réactions.
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- Romneya Coulteri Juillet 2013
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La théorie nous donne la direction, la pratique nous en montre le chemin
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serge17
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Re: Romneya coulteri
Je vais essayer de vous agrandir la photo car visiblement j'ai depuis quelques jours des problèmes avec l'hébergeur d'images .
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serge17
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Re: Romneya coulteri
serge17 a écrit :Je vais essayer de vous agrandir la photo car visiblement j'ai depuis quelques jours des problèmes avec l'hébergeur d'images .
désolé 
La théorie nous donne la direction, la pratique nous en montre le chemin
Re: Romneya coulteri
Voilà quelques photos de mon spécimen prises ce matin. Mon sol n'est pas drainant et même lourd mais je l'ai planté au niveau de la rupture de pente, en haut du talus.
Effectivement la plante ne nécessite pas d'engrais mais le mien semble bien profiter quand même de celui que je passe 2 fois par ans sur la "pelouse" dont il est limitrophe.
Il est vrai que c'est une plante capricieuse qui n'est pas facile à installer, j'en ai perdu deux qui ne se plaisaient pas à l'endroit ou je les avais plantés. Mais quand elle se plait cette plante peut devenir un peu envahissante mais on lui pardonne, elle est tellement belle.
Effectivement la plante ne nécessite pas d'engrais mais le mien semble bien profiter quand même de celui que je passe 2 fois par ans sur la "pelouse" dont il est limitrophe.
Il est vrai que c'est une plante capricieuse qui n'est pas facile à installer, j'en ai perdu deux qui ne se plaisaient pas à l'endroit ou je les avais plantés. Mais quand elle se plait cette plante peut devenir un peu envahissante mais on lui pardonne, elle est tellement belle.
Re: Romneya coulteri
Tiens je pensais justement à cette espèce ce matin. Où peut-on en trouver dans le sud-est?
JM
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serge17
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Re: Romneya coulteri
Bien entendu puisque la mienne provient de chez Dino Pellizzaro à Vallauris. Il y à bien longtemps il est vrai; mais en tout cas, il maîtrisait parfaitement le semis à l'époque ( 1990 s. )
D'aucuns disent que le Romneya est parfumé, ce qui est exact, encore faut-il mettre
le nez au creux de la fleur pour le percevoir) ; mais perso je lui trouve
l'odeur peu convaincante, avec un parfum de savonnette ou quelque chose du
genre, que je ne trouve pas extraordinaire.
Mais ce n'est pas pour ça qu'on l'aime, mais pour sa grande beauté, sa grâce et son raffinement.
Un tapis de convolvulus Mauritanicus à ses pieds lui sied à merveille et réclame le même traitement ou pour faire un rappel avec ses grands pompons jaune-orangé, quelques gazanias seront également parfait . On peut aussi comme moi le planter dans une grande rocaille sur un lit de pierre
D'aucuns disent que le Romneya est parfumé, ce qui est exact, encore faut-il mettre
le nez au creux de la fleur pour le percevoir) ; mais perso je lui trouve
l'odeur peu convaincante, avec un parfum de savonnette ou quelque chose du
genre, que je ne trouve pas extraordinaire.
Mais ce n'est pas pour ça qu'on l'aime, mais pour sa grande beauté, sa grâce et son raffinement.
Un tapis de convolvulus Mauritanicus à ses pieds lui sied à merveille et réclame le même traitement ou pour faire un rappel avec ses grands pompons jaune-orangé, quelques gazanias seront également parfait . On peut aussi comme moi le planter dans une grande rocaille sur un lit de pierre
La théorie nous donne la direction, la pratique nous en montre le chemin