


http://youtu.be/Pt64YzmHlqg
et de l'industrie alimentaire!Joël BOQUIEN a écrit :Très édifiant sur le comportement des laboratoires
Après avoir enduré la domination ottomane, 2 guerres mondiales, une guerre civile en fin de vie et plusieurs changements de régimes politiques dictatoriaux et en prenant en compte le travail pénible de la terre, la tradition de la culture du tabac et celle de la distillation de la prune, leur espérance de vie n'est pas si mal.Irico a écrit :Enfin en l'occurrence ici on parle plus de risque cardiovasculaire que de cancer.![]()
Et je serais curieuse de connaitre l'espérance de vie moyenne "des vieux paysans de Slavonie" ?
Se méfier tout autant des études qui sont menées et financées par les grandes firmes elles-mêmes et qui, comme par hasard, préconisent fortement l'utilisation des produits controversés qu'elles vendent !Irico a écrit :Toutes les études ne sont pas bien menées, toutes n'apportent pas un vrai niveau de preuve scientifique.
Si tu avais bien suivi, tu saurais que c'est Eric qui nous a mis le lien vers cette video, je ne pense pas qu'il l'ait fait dans le but de nous effrayer!Irico a écrit :D'où sors-tu tes éléments Malaga ? Pubmed ou Doctissimo ? ^^ C'est pas très fair play de faire peur aux gens. Encore une fois, gardez un esprit critique face à toutes les bêtises d'internet.
L'espérance de vie n'est pas le sujet et ce n'est pas significatif à mes yeux, si l'on ne tient pas compte de tous les paramètres susceptibles de la raccourcir.Irico a écrit : Vivi : ça ne répond pas à ma question, mais merci d'affirmer que la modernité, donc la médecine indirectement, contribue à augmenter l'espérance de vie des populations !
C'est sans doute la plus belle injustice que j'ai lue depuis au moins... une semaine ???malaga a écrit : Et vous, les jeunes médecins, "gardez l'esprit critique face" aux lobbies des laboratoires pharmaceutiques, please!
"c'est pas très fair play" de faire passer leurs intérêts avant ceux de vos patients!
Vivi a écrit : dont une médecine qui n'écoute plus ses patients et qui devient la boutique maladroite et prostituée de la pharmaceutique.