
Et ce n'est pas une honte, ni un malheur que de posséder ces palmiers. Je suis fière des miens.

Quant aux Butia, il faut avoir les moyens, mais aussi la volonté pour les protéger à l'arrivée du froid et avec le temps et leur croissance, on peut se lasser de cette opération qui devient toujours plus pénible, voire une corvée.