Joachim a écrit :Excès de l'humidité -> pourriture.
Désolé, je pense qu'il n'y a rien à faire.
C'est tout de même des plantes qui n'apprécient pas l'humidité excessive.
Oui, je m'en doutais : l'excès d'humidité... Il faut dire qu'on est servi sur Bordeaux métropole habituellement et encore davantage cette année (Bordeaux >>> Bord d'eau
). Ce qui fait douter pour les possibilités d'acclimatation de xérophytes ou certains palmiers comme le dactylifera par exemple...
Ce qui est curieux, c'est que j'ai un dasylirion serratifolium à côté du wheeleri qui est mort (à 1 mètre) qui a fleuri cet été avec une belle hampe de 2.50 m de hauteur. Et lui ne semble pas (pour le moment) souffrir de l'humidité.
Qui plus est, voilà ce que je viens de lire sur palmaris :
Dasylirion wheeleri
Originaire d'une zone pratiquement identique à l'aire de répartition de Dasylirion texanum (Sud-centre du Texas), cette espèce est facilement identifiable à son très gros coeur et ses feuilles larges (2 à 3cm) et courtes (60-80cm), terminées par un toupet de fibres et souvent vrillées. Les épines des marges foliaires sont souvent brunes. Dasylirion wheeleri résiste au moins à des gels, de l'ordre de -20°c. De plus, il supporte bien l'humidité.
Je n'y crois plus trop mais je voulais avoir votre avis sur ce qui a pu se passer (excès d'humidité et fragilisation de la plante) et une potentielle reprise ? (le coeur a des feuilles sèches mais en tirant, elles ne viennent pas, elles semblent tenir).
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dasylirion leiophyllum 