Il avait été semé douze années auparavant. Il était temps de le bouger car la motte était déjà très lourde. J'ai dû aménager un plan incliné pour le sortir du trou puis le tirer sur une bâche sur une quinzaine de mètres...




Fred
Ce qu'on appelle une bonne terre franche !Pierre31 a écrit :![]()
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Ouah ! Le furieux ! impressionnant, chapeau bas![]()
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En effet c'est pharaonique comme méthode!
On dit bien que la foi abbat les montagnes!
Au passage, ta terre me laisse rêveur....
Je sais ouiJoël BOQUIEN a écrit : Ce qu'on appelle une bonne terre franche !
j'ai la même, humide elle se décompacte facilement à la fourche-bêche, avant de creuser en été, il faut la mouiller!Pierre31 a écrit :Alors que moi j'ai de la glaise vaguement humifère, puis des galets compactés par des millénaires de géologie peu compréhensive, puis de la glaise pure, puis...j'ai arrêté de creuser![]()
Ici, l'hiver tu plantes une pioche facilement, mais tu n'arrives pas à la ressortir du sol. L'été tu fais le même geste au même endroit, elle sonne comme un diapason et elle te revient à la figure, c'est simple
J'ai la même à la maisonPierre31 a écrit :Alors que moi j'ai de la glaise vaguement humifère, puis des galets compactés par des millénaires de géologie peu compréhensive, puis de la glaise pure, puis...j'ai arrêté de creuser![]()
Ici, l'hiver tu plantes une pioche facilement, mais tu n'arrives pas à la ressortir du sol. L'été tu fais le même geste au même endroit, elle sonne comme un diapason et elle te revient à la figure, c'est simple