Re: Bilan de l'Hiver 2011/2012
Posté : 16 mars 2012 20:21
LES LACS ITALO-SUISSES:Deuxième partie.
Après les années 70 nous n'allâmes plus en Italie mon père souhaitant découvrir la France.
J'y retournerai en 76 par mes propres moyens (à vélo). Année de grande sécheresse même dans le Doubs ,je traverse le Valais sous la pluie je passe le Simplon et redescends sur Stresa villégiature assez chic sur le lac majeur.A Stresa à l'époque très peu d'exotisme les italiens semblent préférer les épiceas et les bouleaux aux palmiers dans ce coin là tout du moins.Nous sommes au mois d'Août et la végétation est très verte de ce côté là des Alpes.Je passe une nuit sous la tente à l'extrémité sud du lac(Sesto calende)et suis réveillé en fanfare vers 8H du mat par...un orage.Je repars sous un mur de pluie et un tintamare terrible qui est une des caractéristiques des orages dans cette région(j'y reviendrai également!) .Je fuis a nouveau cette belle région content de m'en sortir sans coup de foudre d'aucune sorte.....et pars vers les horizons méridionaux.Pas de sécheresse cette année-là le grand sud est vert et à Rome il n'ont jamais vu un été si arrosé!
Ce n'est qu'en avril 84 que je repasserai dans le Tessin en train cette fois par la ligne du Saint-Gothard.Un voyage d'une beauté stupéfiante que je conseille à tous les amoureux des paysages grandioses !Depuis Lucerne on longe le lac des 4 cantons puis on monte jusqu'à plus de 1000 mètres et après 10km de tunnel on se retrouve dans le Ticino chez Gabytrachy! La descente par la haute vallée du Tessin sur Bellinzona et Lugano est prodigieuse et début- Avril tout est en fleurs. Les camellias et les mimosas étaient encore magnifiques les magnolias en pleine fleurs et des trachys partout même en altitude et loin des lacs!
En plus il faisait très beau , malheureusement je ne faisais que passer car j'allais en Sicile.Le train passait ensuite à Come et les alentours de la gare de cette belle ville étaient jaunes de mimosa!
Je continuai mon périple mais me promis de revenir dans cette contrée qui avait éveillé en moi plus que de la curiosité.
Au printemps 86 je décidai d'aller revoir ce coin de rêve et comme nous sortions du pire hiver de mon existence d'aller vérifier s' il faisait vraiment meilleur là-bas!Fin de la deuxième partie.
Après les années 70 nous n'allâmes plus en Italie mon père souhaitant découvrir la France.
J'y retournerai en 76 par mes propres moyens (à vélo). Année de grande sécheresse même dans le Doubs ,je traverse le Valais sous la pluie je passe le Simplon et redescends sur Stresa villégiature assez chic sur le lac majeur.A Stresa à l'époque très peu d'exotisme les italiens semblent préférer les épiceas et les bouleaux aux palmiers dans ce coin là tout du moins.Nous sommes au mois d'Août et la végétation est très verte de ce côté là des Alpes.Je passe une nuit sous la tente à l'extrémité sud du lac(Sesto calende)et suis réveillé en fanfare vers 8H du mat par...un orage.Je repars sous un mur de pluie et un tintamare terrible qui est une des caractéristiques des orages dans cette région(j'y reviendrai également!) .Je fuis a nouveau cette belle région content de m'en sortir sans coup de foudre d'aucune sorte.....et pars vers les horizons méridionaux.Pas de sécheresse cette année-là le grand sud est vert et à Rome il n'ont jamais vu un été si arrosé!
Ce n'est qu'en avril 84 que je repasserai dans le Tessin en train cette fois par la ligne du Saint-Gothard.Un voyage d'une beauté stupéfiante que je conseille à tous les amoureux des paysages grandioses !Depuis Lucerne on longe le lac des 4 cantons puis on monte jusqu'à plus de 1000 mètres et après 10km de tunnel on se retrouve dans le Ticino chez Gabytrachy! La descente par la haute vallée du Tessin sur Bellinzona et Lugano est prodigieuse et début- Avril tout est en fleurs. Les camellias et les mimosas étaient encore magnifiques les magnolias en pleine fleurs et des trachys partout même en altitude et loin des lacs!
En plus il faisait très beau , malheureusement je ne faisais que passer car j'allais en Sicile.Le train passait ensuite à Come et les alentours de la gare de cette belle ville étaient jaunes de mimosa!
Je continuai mon périple mais me promis de revenir dans cette contrée qui avait éveillé en moi plus que de la curiosité.
Au printemps 86 je décidai d'aller revoir ce coin de rêve et comme nous sortions du pire hiver de mon existence d'aller vérifier s' il faisait vraiment meilleur là-bas!Fin de la deuxième partie.