Il s'agit d'une longue bande de terre à flanc de coteau surplombant la vallée abrupte du Gouët, elle-même orientée plein sud. La pente est de 15 à 35% et la vallée, d'un axe est -ouest, laisse facilement passer le vent vif d'hiver. Toutefois la déclivité et l'orientation intensifient l'apport du soleil et l'amplititude thermique est donc importante en journée. Le sol est très peu profond (le roc affleure) et très filtrant puique principalement composé des débris de la lande qui le recouvrait (ajoncs, genêts, prunelliers, ronces). Les palmiers introduits et les eucalyptus nécessitent donc d'importants apports en eau et en engrais, sauf à devoir végéter.
Les persistants (lauriers, alaternes, mimosas, résineux) ont systématiquement été préservés où plantés pour maintenir l'agrément en saison froide et opérer un contraste avec les espèces caduques.
Le site est celui de la chapelle de bon repos. Elle a servi de point de fuite à au dessin de la partie organisée du jardin. On peut apercevoir dans le loitain la première écluse du port du Légué et, immanquable, le viaduc du Gouêt.
Bonne visite.




























Le reportage se pousuit.