malaga a écrit :"du temps doux"? où ça?


Seulement chez Michel !
malaga a écrit :"du temps doux"? où ça?
Ber a écrit :malaga a écrit :"du temps doux"? où ça?![]()
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Seulement chez Michel !
le midi ce n est plus ce que c etaitmalaga a écrit :on n'exagère pas!il fait moche régulièrement depuis le 1er décembre !
bien sûr, pour l'instant, on a eu très peu de gel mais le manque de soleil empêche les t°s de décoller!
on n'a pas connu de réelle douceur comme sur la côte, d'ailleurs je ne remarque aucune anomalie au jardin! juste 1 ou 2 palmes cassées par la neige!
Cet hiver je le trouve assez froid et peu ensoleillé, peu de jours avec soleil total, peu de vrai froid, à la limite une bonne vague de vrai froid puis beau eu été mieux, 3 fois de la neige 6, 3, et 2 cm c'est peu mais symptomatique d'un hiver assez pourri et souvent proche de zéro, on a pas les dégâts des Moscou Paris mais beaucoup de flotte, (bien pour les nappes surtout celles de Michel), un hiver pas très gai en quelque sorte.malaga a écrit :"du temps doux"? où ça?
Non moi je fais parti des tristes,Palmetum a écrit :claude tu connais des hivers gays
Alors là, je suis 100% sur la même longueur d'onde.lespinet a écrit :La plupart des observations relatées ci-dessus, je les fais depuis que j'observe la nature, en 1968 et les plus anciens les faisaient aussi. Il y a les plantes qui fleurissent normalement l'hiver (pâquerettes, soucis...), celles dont la floraison se prolonge très longtemps s'il fait bon (rosiers...), celles qui fleurissent en fin d'hiver et qui peuvent le faire au milieu quand il fait doux (fruitiers précoces....) et quelques individus qui se distinguent des autres en fleurissant beaucoup plus tôt que les autres certaines années, sans que je sache trop pourquoi (forsythia, lilas, iris...). Enfin, je rappelle que les bourgeons se forment en été, quand la plante arrête de pousser et qu'ils débourrent (qu'ils bourgeonnent, dans le langage courant) quand c'est le moment (leur printemps). Ca m'a toujours amusé d'entendre des gens s'extasier parce qu'ils voyaient des bourgeons en plein hiver!
En fait, le plus souvent, quand on trouve quelque chose d'exceptionnel, c'est parce qu'on constate pour la première fois que la réalité ne correspond pas aux idées préconçues qu'on nous avait mises dans la tête. Je suis passé par là aussi, en m'extasiant devant des floraisons hivernales ou des papillons qui sortaient en plein hiver, mais en observant la nature, j'ai vite compris qu'elle est très différente de la vision simpliste qu'on nous en donne. Le "on" est très bien éduqué par les médias, qui savent relayer les idées les plus convenus sans le moindre esprit critique (pourquoi vérifier, puisque tout le monde le dit?). Ca fait donc longtemps que je ne vois plus d'anomalie. Je vois simplement des faits qui s'éloignent plus ou moins de la moyenne, mais pas plus que ce que j'ai déjà vu. Depuis une dizaine d'années la douceur des hivers n'est guère spectaculaire par rapport à ce que j'ai vu avant, le plus extraordinaire étant 1974-75 (floraison des amandiers à partir du 20 décembre à Narbonne et de début janvier à Toulouse, ce que je n'ai plus revu). Un jour, je compte faire une synthèse de mes observations dispersées dans mes archives, je pourrai les mettre sur mon site et vous indiquer le lien.