Lafougere a écrit :L exemple dPteridium aquilinum est très intéressant,et pourrait faire l objet d une recherche pour l acclimatation puisqu elle est présente sur presque l ensemble du globe...Prendre une souche gabonaise,par exemple et la planter en Europe.voir qu elle est son adaptation et donc si elle réussi son acclimatation.
Ce que tu dis est tout à fait intéressant .Je n'ai considéré que les végétaux supérieurs et pas les ptéridophytes . Les expériences d'adaptation ont été peu étudiées sur les fougères. Le problème est de trouver des fougères tropicales qui ne soit pas arborescentes pour faire des expériences d'adaptation J'ai dans le domaine de l'adaptibilité  des fougères deux exemples contradictoires. Palm per packet m'a vendu 
Cyathea gleichenoides une arborescente pour résistante à- 12°C .Protégée elle a gelé  à - 6°C sous canopée et couverte de 2 épaisseurs de voile .En sens inverse 
Phlebodim aureum  qui n'était pas protégé a eu les feuilles gelées et la plante est reparti. Je viens de mettre en terre bien qu'il soit épiphyte  Phlebodium aureum "Blue Star". Tout est à faire dans le domaine des tropicales terrestres ou épiphytes 

 . Palmaris dit que Phlebodium aureum a résisté à -12°C mais il ne précise pas si le rhizome  était au sec ou turgescent. 
 
 
Joachim a écrit :Par contre, je suis plus inclin à tester des graines des sabals par ex., provenant des régions très limites de son aire de répartition naturelle
.  
S'il s'agissait de plants en provenance de ces localité et élevé sur place je dirai OK  
Pour les graine de ces provenances, l' histogramme des fréquences s'applique à toute l'espèce quelle qu'en soit l'origine et la majorité des plants seront dans la variance . L'aire de répartition des 
Sabal minor botaniques est extrêmement vaste depuis la frontière mexicaine sur le golfe du Mexique au Texas jusqu'au nord de la Caroline du Nord.De tout façon c'est un palmier rustique .
Mon avis n'engage que moi 
